Dépister au mieux toxiques, drogues et stupéfiants - 19/06/08
Analyses sanguines, urinaires, capillaires ou exploration d’autres matrices biologiques telles que le méconium, la salive, la sueur... Le praticien biologiste dispose de tout un arsenal de tests, plus ou moins faciles à mettre en œuvre et plus ou moins « parlants », à considérer en regard du degré d’urgence auquel il est contraint. Face aux intoxications aiguës admises de plus en plus régulièrement dans les services d’urgence, se pose bien évidemment la question de la pertinence de chaque type d’analyse toxicologique. Au-delà des premières informations obtenues en urgence hospitalière, des laboratoires de pointe proposent de révéler des données complémentaires et fort utiles, notamment dans le cadre médico-légal et de la compétition sportive. En tout état de cause, de la collaboration entre cliniciens et biologistes découle la rationalité des démarches.
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Vol 2005 - N° 0353
P. 9-14 - juin 2004 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.