Les tests de diagnostic rapides (TDR) prennent aujourd’hui un essor de plus en plus grand. Mais qu’appelle-t-on au juste TDR et quelle place occupent-ils en microbiologie ? Simplicité d’utilisation et fiabilité des résultats sont-elles compatibles ? Sont-ils adaptables et « adaptés » aux pathologies infectieuses dont le fondement du diagnostic biologique repose encore pour la plupart du temps sur la culture cellulaire ? La biologie moléculaire résoudra-t-elle toutes les difficultés techniques ? À moins que cela ne soit les labopuces qui représentent un avant-goût de la science du diagnostic de demain. \nMais ces nouveaux tests apportent-ils un réel progrès pour le patient ? pour le biologiste ? De nombreuses autres questions se bousculent : leur mise sur le marché marque-t-elle l’avènement de l’analyse médicale sans le biologiste ? \nLes interrogations sur ce passionnant sujet trouveront une partie des réponses dans ce dossier qui propose un tour d’horizon prospectif de cet univers encore au stade de l’ébauche.

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Vol 2005 - N° 0341

P. 9-13 - juin 2004 Retour au numéro

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