To understand the clinical characteristics and risk factors of early-onset schizophrenia in children with self-injurious suicide behavior.

From March 2021 to December 2021, the clinical information of 77 inpatients with demography characteristics, family characteristics, and diseases which met the ICD-10 diagnostic criteria for “schizophrenia” in the pediatric wards of Shanghai Mental Health Center was retrospectively collected. According to whether or not there was self-injurious suicide behavior, they were divided into the self-harm and suicidal behavior group (self-harm and suicidal behavior - S) and the non-self-injurious suicide group (NS); inter-group comparison and regression analysis was performed between the two groups.

There were 51 cases (66.2%) of early-onset childhood schizophrenia patients with self-injurious suicidal behavior, verbal auditory hallucinations (94.12%) and delusion of reference (92.16%) being the main psychological symptoms. Compared with early-onset schizophrenia patients without self-injurious suicidal behavior, early-onset schizophrenia patients with self-injurious suicidal behavior had a higher incidence of delusion of reference (t=3.184, P=0.002) and command auditory hallucinations (t=2.256, P=0.027). The Eysenck Personality Questionnaire showed that the score of neuroticism was higher (F=4.139, P=0.001); the level of free tetraiodothyronine (FT4) was lower (t=–4.436, P<0.001); and logistic regression analysis showed that gender (P=0.036, OR=14.863), FT4 (P=0.011, OR=0.607) and neuroticism score (P=0.035, OR=1.073) were related to the occurrence of self-injurious suicide in children with early-onset schizophrenia.

Early-onset schizophrenia patients with self-injurious and suicidal behavior have typical psychiatric symptoms, accompanied by some characteristics associated with emotional instability. Females with low levels of FT4 and neuroticism have risk factors for suicide with self-injury in early-onset schizophrenia.

Comprendre les caractéristiques cliniques et les facteurs de risque de schizophrénie précoce chez les enfants qui se suicident par automutilation.

Collecte rétrospective de données cliniques sur 77 hospitalisations de caractéristiques démographiques, de caractéristiques familiales et de maladies répondant aux critères de diagnostic de la CIM - 10 « schizophrénie » dans le service pédiatrique du Centre de santé mentale de Shanghai de mars 2021 à décembre 2021. Ils ont été divisés en un groupe d’automutilation et de comportement suicidaire (automutilation et comportement suicidaire - S) et un groupe de suicide non-automutilation (NS), selon la présence ou l’absence de suicide automutilation. Ils ont effectué une comparaison intergroupes et une analyse de régression pour les deux groupes.

Les patients atteints de schizophrénie infantile précoce ont eu 51 cas (66,2 %) de comportement suicidaire automutilant, les principaux symptômes psychologiques étant les hallucinations auditives verbales (94,12 %) et les délires de référence (92,16 %). Les patients atteints de schizophrénie à coiffure précoce avec des actions suicidaires automutilantes présentaient une incidence plus élevée de délires de référence (t=3,184, p=0,002) et d’hallucinations auditives commandantes (t=2,256, p=0,027) que les patients atteints de schizophrénie à début précoce sans comportement suicidaire automutilant, et le questionnaire de personnalité eisenk a montré des scores neurotypiques plus élevés (F=4,139, p=0,001); faible taux de tétraiodothyronine libre (FT4) (t=–4,436, p<0,001). L’analyse de régression logistique a montré que le sexe (p=0,036, OR=14,863), le FT4 (p=0,011, OR=,0607) et le score névrotique (p=0,035, OR=1,073) étaient associés à l’apparition de suicides automutilés chez les enfants atteints de schizophrénie précoce.

Les personnes atteintes de schizophrénie précoce avec automutilation et comportement suicidaire ont des symptômes psychiatriques typiques accompagnés de certaines caractéristiques associées à l’instabilité émotionnelle. Les femmes ayant de faibles niveaux de FT4 et de névrose sont des facteurs de risque d’automutilation suicidaire chez les personnes atteintes de schizophrénie précoce.