La pseudopolyarthrite rhizomélique et l’artérite à cellules géantes sont-elles la même maladie ? - 14/12/24
Polymyalgia rheumatica and giant cell arteritis, are there the same disease?
Cet article a été publié dans un numéro de la revue, cliquez ici pour y accéder
Résumé |
L’artérite à cellules géantes (ACG) et la pseudo polyarthrite rhizomélique (PPR) ont été décrites pour la première fois aux alentours des années 1950 et le lien entre les deux pathologies a été fait progressivement. Cependant les connaissances physiopathologiques concernent surtout l’ACG alors que les données sont rares dans la PPR. Si les deux maladies sont maintenant considérées comme l’expression phénotypique d’une même maladie, la PPR doit être isolée afin de ne pas la sur-traiter, soit par des doses de corticoïdes inadaptées soit par erreur de diagnostic. Enfin, dans la PPR, le concept de fenêtre d’opportunité émerge, en lien avec des taux de réponse différents selon que la PPR est récente ou non.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Summary |
Giant cell arteritis (GCA) and polymyalgia rheumatica (PMR) were first described around the 1950s and the link between the two pathologies was gradually brought to light. However, pathophysiological knowledge mainly concerns GCA while data are rare in PMR. If the two diseases are now considered as the phenotypic expression of the same disease, PMR must be isolated so as not to over-treat it, either with inappropriate doses of corticosteroids or by misdiagnosis. Finally, in PMR, the concept of window of opportunity emerges, linked to different response rates depending on whether PMR is recent or not.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Pseudo polyarthrite rhizomélique, Artérite à cellules geantes, Fenetre d’opportunité, Corticoïdes, Lymphocytes T
Keywords : Polymylagia rheumatica, Giant cell arteritis, Window of opportunity, Corticoides glucocorticoids, T lymphocytes
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Déjà abonné à cette revue ?