La survenue de fractures de l’avant-bras est-elle influencée par le déficit de vitamine D chez les enfants sans antécédents autant que la violence des traumatismes ? À propos de 412 cas - 13/12/24
Résumé |
La fréquence des fractures de l’avant pour des traumatismes de violence différente chez des enfants en bonne santé serait due à un déficit de vitamine D.
Étude prospective, 412 fractures avant-bras (An 2019), âge 1 à 14 ans ; activité sportive au collège obligatoire, chutes banales peu violente fréquente, 77,6 % garçons, 57,3 % social bas, 57,2 % sans activité sportive régulière, les enfants ayant une activité sportive régulière se fracturent à 8 ans, prise en charge urgente, calendrier vaccinal à jour, sans antécédents ni pathologie viscérale, tout radiographie standard, 55 % prise en charge ambulatoire, 94 % traitement orthopédique en première intention, 85 % maintenu traitement définitif, 11 % chirurgie liée à la prévention d’une complication ou le type de déplacement.
Le taux de vitamine D globale est bas chez 30 % des enfants, non accompagné de baisse du taux de calcium du phosphore de l’albumine présentant l’un des signes cliniques de l’insuffisance vitaminique D, exposition solaire suffisante tout le long de l’année, l’élimination les antécédents personnels nous oriente vers un déficit d’apport alimentaire de vitamine D. Les fractures du radius proximal peu fréquente chirurgie 2e intention. Le taux moyen de Vit D est à la limite de 30ng/mL, le niveau socioéconomique des enfants est bon, l’activité sportive régulière, aucune influence du taux bas sur le traitement mais le déplacement, Les fractures communes des 2 os de l’avant sont majoritaires 75 % de tous les âges 1–14 ans, une fracture l’Ulna isolée pour 4 du Radius isolée, les fracturés des 2 os sont d’un niveau socioéconomique bas, sans antécédent, leur activité sportive régulière différente, 80 % chute propre hauteur. Les taux de vitamine D est le plus faible (27,20ng/mL), âges 4–12 ans, un niveau socioéconomique bas et une activité sportive régulière, les taux bas ont des conséquences osseuses pouvant se manifester par des fractures Les fractures distales des 2 os touchent surtout le quart inférieur à tout âge et le cartilage de croissance, 20 % de taux de vitamine inférieur à 30ng/mL, de niveau socioéconomique différent, une activité sportive régulière différente.
Une exposition solaire suffisante, dès taux de calcium et phosphore normaux n’éliminent pas une insuffisance en vitamine D, la nécessite du contrôle régulier des taux de vitamine D chez l’enfant afin d’assurer une croissance correcte et éviter les lésions liées.
Pour les mêmes circonstances avec un taux de vitamine D bas, les fractures des 2 os de l’avant bras sont les plus susceptibles d’avoir lieu.
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Vol 43 - N° 6
Article 101937- décembre 2024 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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