DSM-5 self-rated level 1 cross-cutting symptom measure (CCSM1): Proposal for a three-factors model and implications for the assessment of at-risk situations - 25/09/24
Pour une approche dimensionnelle réelle de la mesure transversale des symptômes auto-évalués de niveau 1 du DSM-5 (AESTN1) : proposition d’un modèle à trois facteurs et implications pour l’évaluation des situations à risque
Abstract |
Objective |
The aim of this paper is to study the measurement of the DSM5 self-rated transversal symptoms level 1 (CCSM1) from a dimensional perspective in line with current models of psychopathology in three factors: internalization, thought disorders, externalization.
Method |
Based on the 670 non-clinical protocols we collected, we verified that the VSS is composed of three factors. We studied the 3-factor composition with half of the sample and confirmed this composition with the other half. To show that these three factors were more relevant than the original 13 dimensions, we compared the results to three clinical groups and, after a cluster analysis, we investigated the intensity and frequency of people at risk across the original dimensions.
Results |
While the 13 initial dimensions of the CCSM1 do not completely differentiate this sample from the clinical groups, the three high-order dimensions are discriminating. Clustering confirms these results when comparing the least and most affected subjects and allows us to see that these three HODs have significant impacts on the observation of cases at risk of clinical disorders in this non-clinical sample.
Discussion |
To be further validated, these three HODs should be studied in relation to tools that assess internalization, thought disorders or externalization.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
L’objectif de cet article est d’étudier l’auto-évaluation symptomatique transversale de niveau 1 du DSM5 (AESTN1) dans une perspective dimensionnelle conforme aux modèles actuels de la psychopathologie en trois facteurs : internalisation, troubles de la pensée, externalisation.
Méthode |
Sur la base des 670 protocoles non cliniques que nous avons recueilli, nous avons vérifié que le VSS est composé de trois facteurs. Nous avons étudié la composition en trois facteurs avec la moitié de l’échantillon et confirmé cette composition avec l’autre moitié. Après avoir comparé les résultats sur les treize dimensions à un échantillon non clinique nord-américain (n=274), nous avons comparé les résultats à trois groupes cliniques afin d’étudier si ces trois facteurs étaient plus pertinents que les treize dimensions initiales. Enfin, après une analyse en cluster sur la base de ces trois facteurs, nous avons étudié l’intensité et la fréquence des personnes à risque à travers les dimensions initiales.
Résultats |
Alors que les treize dimensions initiales du AESTN1 ne différencient pas complètement cet échantillon des groupes cliniques, les trois dimensions d’ordre élevé sont discriminantes. La clusterisation confirme ces résultats lorsque l’on compare les sujets les moins et les plus atteints et nous permet de constater que ces trois HOD ont des impacts significatifs sur l’observation des cas à risque de troubles cliniques dans cet échantillon non clinique.
Discussion |
Pour être validés davantage, ces trois HODs devraient être étudiés par rapport à des outils qui évaluent l’internalisation, les troubles de la pensée ou l’extexternalisation.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : DSM 5 self-rated level 1 cross-cutting symptoms measure, Dimensional paradigm, Cluster analysis, Odds ratio, Factor analysis, Non-clinical sample
Mots clés : Auto-évaluation symptomatique transversale de niveau 1, Paradigme dimensionnel, Analyse factorielle, Analyse en cluster, Population non clinique
Plan
Vol 50 - N° 5
P. 531-538 - octobre 2024 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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