Le modernisme médical prompt à promouvoir le soin le plus juste, le plus personnalisé exploite le champ de l’ethnicité et de la racialité. Si l’ambition d’un soin adapté, au plus près des attentes du patient et au plus proche des impératifs déontologiques d’un soin consciencieux, dévoué et fondés sur les données acquises de la science domine, elle se heurte aux grands principes de non-discrimination que garantit notre Constitution.

The Medical modernism pattern, eagerly promoting the fairest, the most personalized care, exploits the field of ethnicity and raciality. If assuming the utmost adapted care, as close as possible to the expectations of the patient and as close as possible to the ethical imperatives of conscientious, dedicated care based on data acquired from science dominates, it comes up against the main principles of non-discrimination assessed by the Constitution.