Lithotripsie extracorporelle : technique et indications - 02/09/24
Résumé |
La lithotripsie extracorporelle (LEC) a été décrite pour la première fois en 1980 et représente le traitement instrumental mini-invasif par excellence des calculs urinaires. Son mécanisme d'action repose sur des ondes de choc délivrées sur une cible avec un repérage fluoroscopique et/ou échographique. Les évolutions qui ont porté sur le système générateur de l'onde de choc ont permis la réalisation de ce traitement le plus souvent sous simple prémédication, sans anesthésie. Les sources d'énergie disponibles à l'heure actuelle sont électrohydraulique, électroconductive, électromagnétique et piézoélectrique. Pendant de nombreuses années, la LEC a demeuré le traitement de la majorité des calculs urinaires de l'adulte comme de l'enfant. Avec le développement ainsi que la démocratisation des lasers et de l'endo-urologie face à un accès ou une disponibilité parfois plus complexe des lithotripteurs, il a été observé dans de nombreux pays un recul de ses indications ces dernières années. Pourtant, les taux de succès décrits, souvent hétérogènes selon les séries, peuvent atteindre 80 % en une à deux séances selon le volume, la dureté et la topographie des calculs.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Lithotripsie, Calculs, Rein, Rénal, Urétéral, Extracorporel, Onde de choc, Lithotripsie extracorporelle par ondes de choc
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