Associations between Diet Inflammatory Index Scores and nutritional status in chronic kidney disease patients - 09/08/24
Associations entre les scores de l’indice inflammatoire alimentaire et l’état nutritionnel chez les patients souffrant d’insuffisance rénale chronique
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Abstract |
Objectives |
To examine the relationship between the energy-adjusted dietary inflammatory index (E-DII) and nutritional status, anthropometric measurements, subjective global evaluations (SGA) and biochemical parameters of chronic kidney disease patients.
Methods |
Cross-sectional analyses were performed on data collected from individuals.
Participants/setting |
Participants included 119 adults aged 19 years and older, who had data from at least three days of valid 24-hour dietary recall data. Main outcome measures nutritional status, anthropometric measurements, SGA and biochemical parameters were collected. Statistical analyses performed Mann–Whitney U test, ANOVA, Kruskal–Wallis and ANCOVA test was used.
Results |
It was determined that 79.8% of the patients were well-nourished, 19.3% had moderate malnutrition, and 0.9% had severe malnutrition. The patients with severe malnutrition was in the last quartile. It was determined that macronutrients and all vitamin and mineral intakes decreased in the last quartile values compared to the first quartile values (P<0.05). After adjustment for age, sex, energy intake and glomerular filtration rat, there was a significant differences in triceps skinfold thickness and body fat percentage among the four quartiles. There was an increase in the C reactive protein levels from the first quartile to the third quartile (P<0.05).
Conclusions |
This study shows that E-DII is a good tool for assessing the overall inflammatory potential of diet in chronic kidney disease patients.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Examiner la relation entre l’indice inflammatoire alimentaire ajusté en fonction de l’énergie (E-DII) et l’état nutritionnel, les mesures anthropométriques, les évaluations globales subjectives (SGA) et les paramètres biochimiques des patients atteints dinsuffisance rénale chronique.
Méthodes |
Des analyses transversales ont été réalisées sur les données collectées auprès des individus. Participants/environnement Les participants comprenaient 119 adultes âgés de 19 ans et plus, qui disposaient de données d’au moins troisjours de données de rappel alimentaire valides sur 24heures. Principaux critères de jugement L’état nutritionnel, les mesures anthropométriques, les paramètres SGA et biochimiques ont été collectés. Les analyses statistiques effectuées par le test Mann–Whitney U, l’ANOVA, le Kruskal–Wallis et le test ANCOVA ont été utilisées.
Résultats |
Il a été déterminé que 79,8 % des patients étaient bien nourris, 19,3 % souffraient de dénutrition modérée et 0,9 % souffraient de dénutrition sévère. Les patients qui souffraient de dénutrition sévère se trouvaient dans le dernier quartile. Il a été déterminé que les macronutriments et tous les apports en vitamines et minéraux diminuaient dans les valeurs du dernier quartile par rapport aux valeurs du premier quartile (p<0,05). Après ajustement en fonction de l’âge, du sexe, de l’apport énergétique et du taux de filtration glomérulaire , il y avait des différences significatives dans l’épaisseur du pli cutané du triceps et le pourcentage de graisse corporelle entre les quatre quartiles. Il y avait une augmentation des taux de protéine C réactive du premier quartile au troisième quartile (p<0,05).
Conclusions |
Cette étude montre que l’E-DII est un bon outil pour évaluer le potentiel inflammatoire global du régime alimentaire chez les patients atteints d’insuffisance rénale chronique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Chronic kidney disease, Dietary inflammatory index, Inflammation, Malnutrition
Mots clés : Maladie rénale chronique, Indice inflammatoire alimentaire, Inflammation, Malnutrition
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