This investigation examined the effect of cardiovascular function and exercise stress on sleep quality in female soccer players.

Twenty-four (n=24) female soccer players volunteered to be participants over a six-month longitudinal study consisting of six-data collection periods recorded once a month and separated by 30-day intervals. A sub-group analysis examined the association between accumulated exercise stress and sleep quality over a two-month period. Exercise stress was recorded using a heart rate (HR) and GPS monitor (Polar Team Pro. Resting cardiovascular function included; cardiac output, stroke volume, systemic vascular resistance, heart rate variability and blood pressure. Sleep quality and disturbance was examined using the Pittsburgh Sleep Quality Index (PSQI). Mean (±SD) global PSQI scores over six-months was 5.8±2.0 and ranged between 2.0–13.0, classifying participants as poor sleepers.

Hypotensive individuals had significantly lower PSQI scores compared to normotensive individuals (Hypo 7.4±2.4 ‘vs’ Normo 5.2±2.1, p<0.001, ES=0.95). Significant inverse associations were observed between global PSQI scores and mean arterial blood pressure (r=−0.30, p<0.01) and both systolic (r=−0.31±0.20, p<0.01) and diastolic blood pressure (r=−0.23, p<0.05). PSQI scores were not significantly associated with training load (r=−0.02, p=0.92) or total distance covered (r=− 0.05, p=0.79).

Low blood pressure was significantly associated with reduced sleep quality in female collegiate soccer players. Furthermore, associations between exercise stress and sleep quality were non-existent.

Cette étude a examiné les effets de la fonction cardiovasculaire et des contraintes cumulées à l’entraînement sur la qualité du sommeil chez des joueuses de football.

Vingt-quatre (n=24) joueuses de football se sont portées volontaires pour participer à une étude longitudinale de six mois consistant en six périodes de collecte de données enregistrées une fois par mois et séparées par des intervalles de 30jours. Une analyse de sous-groupe a examiné les relations entre les contraintes cumulées à l’entraînement et la qualité du sommeil sur une période de deux mois. Des marqueurs de la charge d’entraînement ont été enregistrés à l’aide d’un moniteur de fréquence cardiaque (FC) et de GPS (Polar Team Pro). La fonction cardiovasculaire au repos comprenait: le débit cardiaque, le volume systémique, la résistance vasculaire systémique, la variabilité de la fréquence cardiaque et la pression artérielle. La qualité et la perturbation du sommeil ont été examinées à l’aide de l’indice de qualité du sommeil de Pittsburgh (PSQI).

Les scores globaux moyens (±SD) du PSQI sur une période de six mois étaient de 5,8±2,0 et variaient entre 2,0 et 13,0, classant les participants comme de mauvais dormeurs. Les personnes hypotendues avaient des scores PSQI significativement plus faibles que les personnes normotendues (Hypo 7,4±2,4 versus Normo 5,2±2,1, p<0,001, ES=0,95). Des associations inverses significatives ont été observées entre les scores PSQI globaux et la pression artérielle moyenne (r=−0,30, p<0,01) et la pression artérielle systolique (r=−0,31±0,20, p<0,01) et diastolique (r=−0,23, p<0,05). Les scores PSQI n’étaient pas significativement associés à la charge d’entraînement (r=−0,02, p=0,92) ou à la distance totale parcourue (r=− 0,05, p=0,79).

L’hypotension artérielle était significativement associée à une altération de la qualité du sommeil chez ces joueuses de football universitaires. Par ailleurs, aucune relation n’a été retrouvée entre les contraintes cumulées à l’entraînement et la qualité du sommeil.