Headache in children with centrotemporal spikes - 28/05/08
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The aim of the study was to evaluate the long-term evolution of headache associated with rolandic centrotemporal spikes (CTS). The patient group consisted of a group of 32 children who suffered from headache and presented CTS at electroencephalogram (EEG). As the control group, we selected 52 sex- and age-matched children with headache without any EEG abnormalities. During a follow-up of 5 years none of them showed epileptic seizures. The number of headache attacks decreased in the majority of patients, as in the controls. A good correlation could be identified between CTS and the number of headaches attacks both at baseline (r = 0.58, P < 0.001) and at follow-up (r = 0.64, P < 0.001). In four children (12.5%), the frequency of headache attacks increased and this increase was associated with a higher frequency of CTS. In two patients, a change in the EEG pattern was observed during follow-up, with a ‘migration’ of the epileptiform complex from central to parietooccipital leads. In conclusion, these findings confirm that CTS are not pathognomonic of centrotemporal epilepsy and that evolution of CTS and headache in children are statistically related.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
L'objectif de cette étude était d'évaluer l'évolution à long terme des céphalées associées aux paroxysmes centrotemporaux, au sein d'un groupe de 32 enfants associant des céphalées et des paroxysmes centrotemporaux à l'EEG. Le groupe de contrôle était formé par 52 enfants d'âge et sexe comparables, souffrant de céphalées mais sans aucune anomalie à l'EEG. Aucun d'entre eux n'a présenté de crises épileptiques pendant un suivi qui est maintenant de 5 ans. Le nombre de crises de céphalées a décru progressivement chez les patients comme chez les sujets témoins. Dans le groupe de patients, une corrélation positive existait entre les paroxysmes centrotemporaux et le nombre de crises de céphalées, aussi bien au début de l'étude (r = 0,58, p < 0,001) qu'au cours du suivi (r = 0,64, p < 0,001). Chez quatre enfants l'augmentation dans la fréquence des attaques de céphalées fut associée avec une plus grande fréquence de paroxysmes sur l'EEG, Une ≪migration≫ du foyer EEG vers les régions pariétooccipitales fut observée chez deux patients. Nos résultats confirment que les paroxysmes centrotemporaux ne sont pas pathognomoniques de l'épilepsie du même nom, et suggèrent une relation entre la présence de ce type de paroxysmes et la présence et l'évolution de céphalées dans l'enfance.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keyword : centrotemporal spikes, children, epilepsy, headache
Mots-clés : céphalées, épilepsie rolandique, paroxysmes centrotemporaux
Plan
Vol 29 - N° 1
P. 90-100 - février 1999 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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