In the context of job competition and immense peer pressure in Chinese enterprises, excessive overtime has become an increasingly important risk factor affecting employees’ health.

In addition to low physical health from overwork, this research contributes a new perspective on the social isolation and loneliness on successive overtime to understanding employees’ increasingly low mental health.

We used stepwise regression analysis and Bootstrap testing from a survey data. The subject, 583 employees, aged from 23 to 45 from various work institutions, completed a self-reported measure of overtime frequency, social isolation, and mental health.

Employees have higher family isolation and loneliness due to overwork, resulting in higher depression and lower life satisfaction, while friends’ isolation's mediating effect is insignificant. Employees with more overtime days, involuntary overtime or uncompensated overtime, tend to be higher depression and lower life satisfaction because of lacking contact with family and longtime loneliness. Moreover, this paper also considers individual-sensitive factors. Employees living alone are more vulnerable to suffering from family isolation. Besides, salary and occupation would affect the degree of loneliness.

This study confirms that overtime significantly affects employees’ mental health through family isolation and loneliness as mediating effects. This paper proposes policy recommendations for mitigating overtime exploitation based on these conclusions.

En Chine, les entreprises sont très compétitives et la pression des pairs est énorme. En conséquence, la fréquence d’heures supplémentaires est devenue un facteur de risque important affectant la santé des personnes.

À part la faiblesse santé physique due au surmenage, cette étude a fourni une nouvelle perspective pour comprendre l’état de santé mentale de plus en plus faible des employés, à partir des heures supplémentaires consécutives de ségrégation sociale et de solitude.

Par l’intermédiaire d’une analyse de régression successive et au test Bootstrap ont été effectués sur les données de l’enquête. Les participants à l’étude, 583 employés de différents établissements de travail âgés de 23 à 45 ans, ont rempli l’échelle d’auto – évaluation de la fréquence des heures supplémentaires, de la ségrégation sociale et de la santé mentale.

Nous avons constaté quelles heures supplémentaires affectaient significativement la santé mentale des employés par l’isolement familial ainsi que la solitude. La surcharge de travail provoque chez les personnes un sentiment plus élevé d’isolement familial et la solitude, ce qui entraîne une plus grande dépression et une faible satisfaction à l’égard de la vie, alors que le rôle médiateur du sentiment d’isolement de l’ami n’est pas significatif. Avec des heures supplémentaires consécutives, des heures supplémentaires involontaires ou des heures supplémentaires non rémunérées, les employés sont plus déprimés et moins satisfaits de leur vie à cause d’un manque de contact avec leur famille et d’un sentiment de solitude à long terme. En outre, il faut tenir compte des sensibilités personnelles. Les employés qui vivent seuls sont plus vulnérables à l’isolement familial. De plus, le salaire et la profession influent également sur le degré de solitude.

Nous avons constaté quelles heures supplémentaires affectaient significativement la santé mentale des employés par l’isolement familial ainsi que la solitude. Sur cette base, des recommandations politiques ont été formulées pour atténuer l’exploitation des heures supplémentaires.