Methods to calculate lower-body stretch–shortening cycle utilization in the vertical jump: Which is the best for athletes of different sports? - 30/07/23
Détermination de la meilleure méthode de calcul du cycle d’étirement–raccourcissement du bas du corps dans le saut vertical pour les athlètes de différents sports
Summary |
Purpose |
This study aimed to verify if different stretch–shortening cycle (SSC) methods, obtained by the vertical jump test, present the same characteristics through consistency and agreement analysis, and to compare the SSC methods between athletes of different sports.
Summary of facts and results |
Three hundred and forty-one male athletes of three sports groups (combat sports, team sports, and runners) participated in this study. Athletes performed the countermovement jump and squat jump tests to identify the SSC using three methods: reactive strength index (RSI), pre-stretch augmentation percentage (PSA), and eccentric utilization ratio (EUR). The results demonstrated very large correlations between the methods for jump height (r=0.96–0.98) and power output (r=0.95–0.98), almost perfect agreement for jump height (k=0.86–0.91) and substantial to almost perfect agreement for power output (k=0.77–0.92). The RSI, PSA, and EUR were higher in team sports than combat sports for jump height (P=0.006, P=0.008, P=0.007, respectively), EUR was higher for team sports than combat sports for power output (P=0.041).
Conclusion |
The methods of SSC are strongly correlated and present excellent agreement. Team sports athletes presented greater use of SSC compared to combat sports regardless of the method.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Cette étude visait à vérifier si différentes méthodes de cycle d’étirement–raccourcissement (CDR), obtenues par le test de saut vertical, présentent les mêmes caractéristiques par une analyse de cohérence et d’accord, et à comparer les méthodes CDR entre des athlètes de sports différents.
Synthèse des faits et des résultats |
Trois cent quarante et un athlètes masculins de trois groupes sportifs (sports de combat, sports d’équipe et coureurs) ont participé à cette étude. Les athlètes ont effectué les tests de saut de contre-mouvement et le saut de squat pour identifier le CDR en utilisant trois méthodes : l’indice de force réactive (IFR), le pourcentage d’augmentation avant l’étirement (PAL) et le taux d’utilisation excentrique (TUE). Les résultats ont démontré de très grandes corrélations entre les méthodes pour la hauteur de saut (r=0,96–0,98) et la puissance de sortie (r=0,95–0,98), un accord presque parfait pour la hauteur de saut (k=0,86–0,91) et un accord substantiel à presque parfait pour la puissance de sortie (k=0,77–0,92). Le IFR, le PAL et le TUE étaient plus élevés dans les sports d’équipe que les sports de combat pour la hauteur de saut (p=0,006, p=0,008, p=0,007, respectivement), le CDR était plus élevé pour les sports d’équipe que les sports de combat pour la puissance (p=0,041).
Conclusion |
Les méthodes de CDR sont fortement corrélées et présentent un excellent accord. Les athlètes de sports d’équipe ont présenté une plus grande utilisation du CDR par rapport aux sports de combat, quelle que soit la méthode.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Jump height, Elastic index, Power output, Jump performance
Mots clés : Hauteur de saut, Indice élastique, Puissance de sortie, Performance de saut
Plan
Vol 38 - N° 5-6
P. 626-630 - août 2023 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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