Recovery in normobaric hypoxia as an additional stimulus for high-intensity intermittent training - 15/03/23
Récupération en hypoxie normobare comme stimulus supplémentaire pour un entraînement intermittent de haute intensité
Summary |
Objective |
This study aimed to compare the acute physiological responses from hypoxic exposure during intervals between efforts performed in high intensity.
Methods |
Nine healthy men voluntarily participated in this randomized, single-blind design study. Participants completed two training sessions with ten 1-minute efforts in normoxia [oxygen inspired fraction (FiO2)=20.9%] at 120% of the peak speed achieved in a graduated exercise test, followed by 2-minute passive recovery with or without hypoxia (FiO2=13.6%). During the sessions, the physiological responses (heart rate (HR), peripheral oxygen saturation (SpO2), blood lactate), the internal and external exercise loads, the hypoxia dose, and the arterial partial oxygen pressure (PaO2) were measured. The recorded data were analyzed using a Bayesian statistical approach.
Results |
There was no difference between normoxia and hypoxia for blood lactate, internal and external loads. SpO2 and PaO2 in hypoxia were lower than in normoxia, while HR and dose of hypoxia were higher in hypoxia than in normoxia.
Conclusions |
These results demonstrate that exposure to hypoxia in the intervals between efforts can be an additional stimulus to training without impairing the external load and the quality of the training sessions.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Cette étude visait à comparer les réponses physiologiques aiguës de l’exposition hypoxique pendant les intervalles entre les efforts effectués à haute intensité.
Méthodes |
Neuf hommes en bonne santé ont participé volontairement à cette étude randomisée en simple insu. Les participants ont effectué deux séances d’entraînement avec dix efforts d’une minute en normoxie [fraction inspirée de l’oxygène (FiO2)=20,9 %] à 120 % de la vitesse maximale atteinte lors d’une épreuve d’effort graduée, suivies d’une récupération passive de 2minutes avec ou sans hypoxie (FiO2=13,6 %). Au cours des séances, les réponses physiologiques (fréquence cardiaque [FC], saturation périphérique en oxygène [SpO2], lactate sanguin), les charges d’exercice interne et externe, la dose d’hypoxie et la pression artérielle partielle en oxygène (PaO2) ont été mesurées. Les données enregistrées ont été analysées en utilisant une approche statistique bayésienne.
Résultats |
Il n’y avait pas de différence entre la normoxie et l’hypoxie pour les charges de lactate sanguin, interne et externe. La SpO2 et la PaO2 en hypoxie étaient plus faibles qu’en normoxie, tandis que la fréquence cardiaque et la dose d’hypoxie étaient plus élevées Powered by Editorial Manager® and ProduXion Manager® from Aries Systems Corporation en hypoxie qu’en normoxie.
Conclusions |
Ces résultats démontrent que l’exposition à l’hypoxie dans les intervalles entre les efforts peut être un stimulus supplémentaire à l’entraînement sans altérer la charge externe et la qualité des séances d’entraînement.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Hypoxia, High intensity, Exercice, Running
Mots clés : Hypoxie, Exercice, Haute intensité, Course
Plan
Vol 38 - N° 2
P. 189-196 - mars 2023 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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