Quand le corps garde l’empreinte de l’effraction et la mémoire de l’intrusion - 08/02/23
When the body keeps the imprint of the break-in and the memory of the intrusion
Résumé |
z Une place insuffisante est accordée à la parole des enfants et des adolescents sur le sujet, pourtant crucial, des violences sexuelles z Pédopsychiatre et spécialiste des questions transculturelles, Marie Rose Moro est intervenue sur ce thème en décembre 2021 lors du symposium Repenser la place du corps en psychiatrie, de l’enfance à l’âge adulte z À cette occasion, elle a abordé la manière dont le corps conserve l’empreinte de l’effraction et la mémoire de l’intrusion dans les suites d’abus sexuels.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.When the body keeps the imprint of the break-in and the memory of the intrusion |
Not enough space is given to the voice of children and adolescents on the crucial subject of sexual violence. Marie Rose Moro, a child psychiatrist and specialist in cross-cultural issues, spoke on this topic in December 2021 at the symposium Repenser la place du corps en psychiatrie, de l’enfance à l’âge adulte. On this occasion, she addressed the way in which the body retains the imprint of the intrusion and the memory of the intrusion in the aftermath of sexual abuse.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : abus sexuel, enfant, libération de la parole, prise en charge, symptôme, violence faite aux enfants
Keywords : child care, child, child abuse, voice release, sexual abuse, symptom
Plan
Vol 44 - N° 330
P. 30-31 - janvier 2023 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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