Os et endocrinologie - 21/08/22
Résumé |
La plupart des pathologies endocriniennes ont un retentissement osseux qui est pris en compte dans la morbidité de ces maladies. Il est donc nécessaire de connaître les explorations disponibles pour apprécier le retentissement osseux et bien savoir les interpréter. Il s'agit essentiellement de dosages biologiques des paramètres du métabolisme phosphocalcique, des hormones calciotropes et de la mesure de la densité minérale osseuse. À l'inverse, certaines manifestations osseuses, fractures spontanées, ostéoporose densitométrique, douleurs ostéoarticulaires sont révélatrices de maladies endocriniennes. La grande fréquence en population générale et l'importance du retentissement osseux des dysfonctionnements parathyroïdiens, thyroïdiens et des situations d'hypogonadisme les placent parmi les pathologies endocriniennes pour lesquelles l'évaluation osseuse est la mieux connue et qui sont particulièrement détaillées dans cet article. On aborde également le retentissement osseux des rachitismes vitaminorésistants, des rachitismes hypophosphatémiques, des hypercorticismes endogènes, de l'acromégalie, du syndrome de McCune-Albright, du diabète et de l'hyponatrémie.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Maladies endocriniennes, Ostéoporose, Métabolisme phosphocalcique, Os
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Déjà abonné à ce traité ?