Metastatic renal cell cancer and first-line combinations: for which patients? (focus on tolerance and health-related quality of life) - 25/06/22
Summary |
Until recently, the first-line treatments used in metastatic renal cell carcinoma were based on first-generation anti-VEGFR (vascular endothelial growth factor receptor) tyrosine kinase inhibitors (TKIs) as monotherapy. Trials combining immunotherapy (IO) (anti-CTLA4 + anti-PD-1) or immunotherapy with TKIs showed striking results in the first-line setting with improvement in overall response rates, progression-free survival and overall survival versus sunitinib. This allowed the combinations to gain registration in the US and Europe in the first-line advanced or metastatic clear-cell renal cell carcinoma setting. However, this improved activity comes at the cost of increased toxicity. Immunotherapy-related toxicities usually occur earlier within the first six months. With immunotherapy came a new range of toxicities making it more necessary to work with networks of specialists to better address autoimmune toxicity in particular. The safety profile is also impacted by the type of TKI used. In most cases, health-related quality of life (HRQoL) favours combinations over the comparator sunitinib. This article aims to review and assess the safety and HRQoL data on these new combinations.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Cancer à cellules rénales métastatique et Associations de première ligne : pour quels patients ? (focus tolérance et qualité de vie liée à la santé)
Jusqu’à récemment, les traitements de première ligne utilisés dans le carcinome rénal métastatique reposaient sur des inhibiteurs de tyrosine kinase (ITK) anti-VEGFR (récepteur du facteur de croissance endothélial vasculaire) de première génération en monothérapie. Les essais combinant l’immunothérapie (IO) (anti-CTLA4 + anti-PD-1) ou l’immunothérapie avec un ITK ont montré des résultats spectaculaires en première ligne avec une amélioration des taux de réponse globale, des survies sans progression et globale par rapport au sunitinib. Cela a permis l’enregistrement de ces combinaisons aux États-Unis et en Europe dans le cadre du carcinome rénal à cellules claires avancé ou métastatique en situation de première ligne. Cependant, cette amélioration de l’activité se fait au prix d’une augmentation en terme de toxicité. Les toxicités liées à l’immunothérapie surviennent généralement plus tôt dans les six premiers mois. L’immunothérapie s’est accompagnée de nouvelles toxicités rendant plus nécessaire qu’auparavant la nécessité de travailler au sein de réseaux multispécialités pour mieux faire face à la toxicité auto-immune. Le profil de sécurité est également impacté par le type d’ITK utilisé. Pour la plupart des associations, la qualité de vie liée à la santé (QdVS) favorisait l’association par rapport au comparateur sunitinib. Cet article vise à passer en revue les données de tolérance et de QdVS de ces nouvelles combinaisons et à les mettre en perspective.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Renal cell carcinoma, Combination, Immunotherapy, Metastatic, Anti-angiogenic, Tyrosine kinase, inhibitor
Mots clés : Carcinome à cellule, rénale, Combinaison, Immunothérapie, Métastatique, Anti-angiogénique, Inhibitrice, de tyrosine-kinase
Plan
Vol 109 - N° 2S
P. 2S19-2S30 - mai 2022 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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