Suture du labrum acétabulaire sous arthroscopie - 06/10/21
Arthroscopic suture of the acetabular labrum
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Résumé |
Il est indispensable de connaître l’anatomie et la biomécanique du labrum acétabulaire pour comprendre qu’il faut s’efforcer de le préserver. Sa vascularisation provient de la capsule et aussi de l’os. Sa face articulaire contient de nombreuses terminaisons nerveuses qui expliquent que les lésions labrales soient douloureuses. Il participe à la stabilisation de l’articulation par le maintien d’un vide intra-articulaire, capable de résister à une force de distraction. C’est un joint d’étanchéité. Il existe deux principales techniques de suture, trans- et périlabrale. La technique translabrale est mieux adaptée en cas de labrum large, solide et dépourvu de lésions dégénératives. Il faut connaître les deux, que l’on associe parfois. Leurs résultats sont comparables. Le traitement de la pathologie sous-jacente, à l’origine de la lésion labrale est primordial. La dégénérescence articulaire est de mauvais pronostic. Elle doit être reconnue et discutée avec le patient pour éviter des attentes qui seraient déçues.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Hanche, Labrum, Arthroscopie, Suture, Technique, Résultats
Plan
☆ | Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais celle de la version anglaise correspondantes publiée dans Orthopaedics & Traumatology: Surgery & Research 108/1S (February 2022). |
Vol 107 - N° 6S
P. S189-S196 - octobre 2021 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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