Ulcérations sexuellement transmissibles - 16/09/21
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Les ulcérations sexuellement transmissibles font partie des infections sexuellement transmissibles (IST) les plus fréquentes dans le monde. Ces types d'IST augmentent le risque d'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Parmi les causes des ulcérations génitales, l'herpès génital et la syphilis sont fréquents et cosmopolites. Si l'herpès pose en pratique le problème d'altération de la qualité de vie chez les adultes, son impact au cours de la grossesse et chez le nouveau-né peut être grave. La syphilis reste une affection préoccupante chez le patient infecté par le VIH et dans sa forme congénitale. Le chancre mou et la donovanose, endémiques dans les pays tropicaux, sont très rares en France. L'incidence de la lymphogranulomatose vénérienne est croissante chez les homosexuels. Les examens biologiques classiques et la biologie moléculaire sont des outils diagnostiques performants en pratique. En dehors de l'herpès, la majorité des germes des ulcérations sexuellement transmises sont guérissables avec l'arsenal antibiotique actuel. La prise en charge de tout patient souffrant d'une IST doit intégrer le dépistage d'autres infections (VIH, hépatites virales B et C), le traitement des partenaires sexuels et les conseils pour prévention efficace.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Herpès génital, Syphilis, Chancre mou, Lymphogranulomatose vénérienne, Donovanose
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