In this study we have based our research on botulinium toxin injection via targeted neuromuscular end plate zones, specifically in muscles with diffuse distribution of the latter. The muscular surface anatomical variety was also taken into consideration with thorough pre-injection examination of every subject.

With consideration of the facial muscles anatomical variation and neuromuscular bundle distribution, we have applied the method of retrograde botulinium toxin injection on a series of 10 patients on the right side of the face with the left side as a control side, it was injected in a regular perpendicular manner in order to conclude the efficacy of targeted motor end zone injection. Using an auto-injecting syringe, we have delivered 6 Allergan units per zone (frontalis, glabellar lines of corrugator supercilii and orbicularis oculi crow's feet).

On control day 8 we have noticed a more prominent effect mainly on the level of the orbicularis oculi muscle and the corrugator supercilii muscle on 9 out of 10 patients. Nine patients out of 10 needed the delivery of an additional 6 Allergan units per zone on the control side's glabellar lines and crow's feet rhytids. Where 1 out of 10 patients needed the reinjection of the control side on the glabellar lines zone.

The musculature of the face varies when it comes to neuromuscular plate distribution. Muscles with scattered distribution patterns show an optimal response to botulinum toxin injections when delivered in a retrograde manner. This has allowed us to achieve of optimal results while minimizing injection sites and hence pain, the use of lower dosage and hence treatment cost, as well as lowering the unwanted product dissemination to the neighboring mimic muscles.

Dans cette étude, nous avons basé nos recherches sur l’injection de toxine botulique en fonction de la distribution des plaques motrices, en particulier dans les muscles avec une distribution diffuse de ces dernières. Les variations de l’anatomie musculaire ont également été prises en considération lors d’un examen approfondi avant injection de chaque patient.

En tenant compte de la variation anatomique des muscles faciaux et de la distribution des faisceaux neuromusculaires, nous avons appliqué la méthode d’injection rétrotraçante de toxine botulique sur une série de 10 patients du côté droit du visage avec le côté gauche comme côté contrôle, ou l’injection a été faite de façon classique afin de conclure à l’efficacité de l’injection ciblée de la zone terminale motrice. À l’aide d’une seringue auto-injectante, nous avons délivré 6 unités Allergan par zone (frontalis, rides glabellaires de corrugator supercilii et pattes d’oie d’orbicularis oculi).

Au contrôle de j8 (jour), nous avons remarqué un effet plus important principalement au niveau du muscle orbiculaire oculaire et du muscle corrugateur supercilii chez 9 patients sur 10. Neuf patients sur 10 ont dû recevoir 6 unités Allergan supplémentaires par zone, notamment sur les lignes glabellaires du côté contrôle et les rides de la patte d’oie. Où 1 patient sur 10 a eu besoin de la réinjection du côté contrôle sur la zone des lignes glabellaires.

La musculature du visage varie en ce qui concerne la distribution de la plaque neuromusculaire. Les muscles avec des modèles de distribution dispersés montrent une réponse optimale aux injections de toxine botulique lorsqu’ils sont fait de manière rétrotraçante. Cela nous a permis d’obtenir des résultats optimaux tout en minimisant les sites d’injection et donc la douleur, et les doses injectées donc le coût du traitement, diminuant ainsi le risque de résistance à la toxine ainsi que la diffusion indésirable du produit vers les muscles mimiques voisins.