Néphrectomie laparoscopique transpéritonéale - 16/04/21
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Résumé |
Après la première néphrectomie laparoscopique transpéritonéale réalisée en 1990, elle a rapidement constitué le traitement chirurgical standard des cancers du rein localement avancés. La cœlioscopie a permis d'optimiser les modalités peropératoires tout en diminuant l'utilisation d'antalgiques, la durée d'hospitalisation et la durée de convalescence. Après mise en place des quatre trocarts à gauche et cinq à droite par la technique de l'open cœlioscopie, l'abord rétropéritonéale nécessitant l'ouverture de la gouttière pariétocolique permet d'accéder à la face antérieure du rein et ainsi aux pédicules vasculaires. À gauche, il faut veiller à libérer suffisamment la rate afin d'abaisser le bloc splénocolique et prendre garde à ne pas confondre l'artère rénale avec l'artère mésentérique supérieure. Ainsi toute artère en avant de la veine doit questionner quant à son origine. À droite, il faut être vigilant à ne pas tracter sur la veine génitale qui se termine directement dans la veine cave et à être délicat avec le duodénum. Une fois identifiée, l'artère rénale doit être liée en premier avant la veine rénale. Enfin, l'ensemble du rein est libéré dans le plan du fascia de Gerota. L'uretère est ligaturé par un Hem-o-lock® puis sectionné. La pièce opératoire est ensuite extraite dans un sac, les trocarts retirés sous contrôle de la vue après mise en place d'un Redon.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Cancer du rein, Néphrectomie, Laparoscopie, Transpéritonéale, Rein
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