Classification des tumeurs testiculaires - 06/04/21
Article en cours de réactualisation
pages | 15 |
Iconographies | 3 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Résumé |
La classification de l'Organisation mondiale de la santé (2016) des tumeurs des voies urinaires et des organes génitaux masculins actualisée 12 ans après la version précédente (2004) est un progrès dans la compréhension de la tumorigenèse, la génétique et le pronostic des tumeurs testiculaires. Les modifications principales concernent la classification des tumeurs germinales, qui sont les tumeurs les plus fréquentes, selon leur origine présumée dans des lésions de néoplasie germinales in situ (NGIS), nouveau nom pour la lésion précurseur des tumeurs germinales. On distingue ainsi les tumeurs prépubertaires non dérivées de la NGIS des tumeurs postpubertaires dérivées de la NGIS, tout en reconnaissant l'existence de rares tératomes bénins de type prépubertaire chez l'adulte. La tumeur spermatocytaire est désormais le terme remplaçant le séminome spermatocytaire. Le spectre des tumeurs trophoblastiques est élargi. Les tumeurs des cordons sexuels et du stroma sont souvent bénignes. Les autres formes de tumeurs testiculaires et les tumeurs paratesticulaires sont rares.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Tumeurs testiculaires, Tumeurs germinales, Tumeurs des cordons sexuels, Néoplasie germinale in situ, Classification OMS 2016, Orchidectomie
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à ce traité ?