Traitements parodontaux chirurgicaux - 01/04/21
Résumé |
La décision de réaliser ou non une thérapeutique chirurgicale complémentaire se prend au terme de la réévaluation de la thérapeutique initiale. Ainsi, en présence d'un bon contrôle de plaque, une thérapeutique chirurgicale complémentaire peut être décidée soit pour des poches résiduelles profondes (> 5 mm) associées à un saignement, soit pour des lésions infraosseuses supérieures ou égales à 3 mm, soit pour des lésions interradiculaires de classe II ou III. Initialement, la chirurgie parodontale était un moyen d'accès aux lésions à l'aide de l'élévation d'un lambeau gingival (d'où le terme de lambeau d'accès). Peu à peu, les indications se sont élargies vers la reconstruction tissulaire. Les techniques de chirurgie parodontale peuvent donc intéresser uniquement les tissus mous, les tissus durs ou les deux à la fois. En fonction du type de chirurgie réalisé, des précautions spécifiques sont prises par le praticien pour prévenir les complications postopératoires. L'instauration d'une thérapeutique parodontale de soutien permet de maintenir les acquis thérapeutiques et d'éviter les récidives.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Poches parodontales, Chirurgie parodontale résectrice, Chirurgie parodontale régénératrice, Chirurgie préprothétique, Élongation coronaire
Plan
☆ | Pour citation, ne pas utiliser la référence ci-dessus de cet article, mais la référence de la version originale publiée dans EMC - Médecine buccale 2020;13(4):1-13 [28-641-T-10]. |
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