If it's not anyone's, it's ours. The exit door and its crossroads in the Brazilian health system - 09/03/21
Si ce n’est celui de personne, c’est le nôtre. La porte de sortie et son carrefour dans le système de santé brésilien



pages | 5 |
Iconographies | 1 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Summary |
The general hospital, historically, is the place of care for clinical and surgical patients, a place where there is no space for patients with mental disorders. Stigma affects both patients, their families and the health professionals who care for them. Since the Brazilian Psychiatric Reform, this reality has been gradually changing. Mental health professionals who work in general hospitals are used to dealing with patients of all types, whether they have mental or organic disorders (neurological, metabolic, infectious, among others). If the patient is not comatose or awake enough to express himself clearly, there is a high chance of being taken to the psychiatric emergency for evaluation. Until today, the idea that the place of madness is in the mental hospital prevails among health professionals, so the psychiatric patient, when inside the general hospital, has to go to the psychiatric ward, regardless of having a medical condition or not, including those cases with social demands. The mental health team struggles to find ways to deal with the stigma and abandonment of these patients, as well as efficient ways to drive them to hospital discharge.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
L’hôpital général, historiquement, est le lieu de soins pour les patients cliniques et chirurgicaux, un lieu où il n’y a pas de place pour les patients souffrant de troubles mentaux. La stigmatisation touche à la fois les patients, leurs familles et les professionnels de santé qui les soignent. Depuis la réforme psychiatrique brésilienne, cette réalité a progressivement changé. Les professionnels de la santé mentale, qui travaillent dans les hôpitaux généraux, sont habitués à s’occuper de patients de tous types, qu’ils souffrent de troubles mentaux ou organiques (neurologiques, métaboliques, infectieux, entre autres). Si le patient n’est pas suffisamment comateux ou éveillé pour s’exprimer clairement, il y a de fortes chances qu’il soit conduit à l’urgence psychiatrique pour y être évalué. Jusqu’à aujourd’hui, l’idée que la place de la folie est dans l’hôpital psychiatrique prévaut parmi les professionnels de la santé, de sorte que le patient psychiatrique, lorsqu’il se trouve à l’hôpital général, doit se rendre au service psychiatrique, qu’il ait ou non un problème médical, y compris les cas ayant des exigences sociales. L’équipe de santé mentale s’efforce de trouver des moyens de traiter la stigmatisation et l’abandon de ces patients, ainsi que des moyens efficaces pour les conduire à leur sortie de l’hôpital.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Abandoned patient, Brazilian Psychiatric Reform, Deinstitutionalization, General hospital
Mots clés : Patient abandonné, Réforme psychiatrique brésilienne, Désinstitutionalisation, Hôpital général
Plan
Vol 16
Article 100616- mars 2021 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?