The physical and mental health risks of COVID-19 become higher as people are asked to stay home for an indefinite period. The objective was to investigate the link between the four-factor structure model of coping and mental health among those living in lockdown.

The sample was comprised of 100 participants. The data was collected through purposive sampling. Mental health was measured by the Depression, Anxiety and Stress Scale (DASS-21) and coping strategies from the Brief Cope Inventory. A personal information questionnaire was also used to gather information about the characteristics of participants, such as age, gender and education, in addition to questions related to other stressors. Linear regression was used to assess the association between variables. A P-value<0.05 was considered statistically significant.

Overall, the results showed high levels of stress, anxiety and depression among participants. These findings revealed a significant association between active avoidance and religious/denial coping strategies and mental health problems. However, problem-focused and positive coping strategies were found to be insignificant for all three mental health problems. Other social and personal factors, such as being away from family (90%), having problems sleeping (86%), worrying about the future (85%), experiencing anger (83%), lacking emotional support (79%) and having fear of receiving bad news (72%), were reported often by participants.

Participants showed concern for COVID-19 that was associated with anxiety, stress and depression. These findings have important implications for public health emergency preparedness planning. Moreover, psychological preparedness in the community is essential.

Les risques de COVID-19 pour la santé physique et mentale sont d’autant plus élevés qu’il est demandé aux personnes de rester chez elles pour une période indéterminée. L’objectif était d’étudier le lien entre le modèle de structure à quatre facteurs de l’adaptation et la santé mentale chez les personnes vivant en confinement.

L’échantillon était composé de 100 participants. Les données ont été recueillies par échantillonnage raisonné. La santé mentale a été mesurée par l’échelle DASS-21 (Depression, Anxiety and Stress Scale) et les stratégies d’adaptation du Brief Cope Inventory. Un questionnaire d’informations personnelles a également été utilisé pour recueillir des informations sur les caractéristiques des participants, telles que l’âge, le sexe et l’éducation, en plus des questions relatives aux autres facteurs de stress. La régression linéaire a été utilisée pour évaluer l’association entre les variables. Une valeur de p<0,05 a été considérée comme statistiquement significative.

Dans l’ensemble, les résultats ont montré des niveaux élevés de stress, d’anxiété et de dépression chez les participants. Ces résultats ont révélé une association significative entre l’évitement actif et les stratégies d’adaptation à la religion/au déni et les problèmes de santé mentale. Cependant, les stratégies d’adaptation positives et axées sur les problèmes se sont avérées insignifiantes pour les trois problèmes de santé mentale. D’autres facteurs sociaux et personnels, tels que l’éloignement de la famille (90 %), les problèmes de sommeil (86 %), l’inquiétude face à l’avenir (85 %), la colère (83 %), le manque de soutien émotionnel (79 %) et la peur de recevoir de mauvaises nouvelles (72 %), ont souvent été mentionnés par les participants.

Les participants se sont montrés préoccupés par COVID-19 qui était associé à l’anxiété, au stress et à la dépression. Ces résultats ont des implications importantes pour la planification de la préparation aux situations d’urgence en santé publique. En outre, la préparation psychologique de la communauté est essentielle.