Anomalies de la cicatrisation - 18/11/20
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Résumé |
Le mot « cicatrice » vient du latin cicatrix (pansement) et le terme anglais scar provient du grec eskhara (croûte). La cicatrice est définie comme une marque dépourvue de stries et d'annexes cutanées. Toute effraction complète du derme a pour conséquence la formation d'une cicatrice. Les cicatrices présentes sur les parties découvertes du corps (visage et mains) ont une connotation sociale négative dont la répercussion psychologique est difficile à prédire et à traiter. Cette marque est, au mieux, non visible et bien intégrée sur la peau, mais le plus souvent elle présente un certain degré de dystrophie (épaissie ou déprimée) ou de dyschromie (trop blanche, pigmentée ou avec un érythème résiduel signant une activité inflammatoire résiduelle). La cicatrisation, sous influence locale et métabolique, va principalement engendrer des phénomènes inflammatoires. Elle est dépendante de la profondeur de la plaie, des tissus exposés, de la qualité de la peau adjacente et du volume global de la perte de substance. Une cicatrice peut être pathologique par hyperplasie tissulaire (hypertrophique ou chéloïdienne) ou considérée comme défectueuse par malfaçon ou en raison d'un défaut de maturation du tissu cicatriciel. Cet article traite de la cicatrisation physiologique et de ses anomalies au sens large, en détaillant les modalités actuelles de traitement.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Peau, Plaie, Cicatrisation, Hypertrophique, Chéloïde, Vicieuse
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