De la pression : à Torr ou à raison dans les lymphœdèmes secondaires à un obstacle ? - 07/04/08
Serge Theys [1],
Jean-Claude Ferrandez [2],
Daniel Duez [3],
Cécile Richaud [4],
Jean-Yves Bouchet [5]
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Certaines critiques alimentent la condamnation de pressions appuyées. Au nom du risque de collapsus, seules les pressions légères sont dites « correctes ». C’est oublier les 200 mmHg produits par les bandes, piliers de la décongestion des lymphœdèmes. En fait, un obstacle au transit lymphatique génère une hyperpression intralymphatique (200-300 mmHg). Avec la distension lymphatique qui succède, la pression revient à 10 mmHg. Toutefois, toute compression du lymphatique augmente la pression intralymphatique jusqu’à 200-300 mmHg rendant illusoire tout collapsus par les moyens dont dispose le kinésithérapeute.
Mots clés :
Bandes
,
Drainage
,
Lymphœdème secondaire
,
Pression
Plan
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Vol 6 - N° 54
P. 47-51 - juin 2006 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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