Skull fractures in forensic putrefied/skeletonised cases: The challenge of estimating the post-traumatic interval - 11/03/20
Fractures crâniennes dans les cas médico-légaux putréfiés/squelettisés : difficile estimation du délai post traumatique

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Graphical abstract |
Highlights |
• | Craniofacial bone fractures are evaluated in forensic anthropology/pathology. |
• | Six craniofacial fractures were analysed by macroscopy, microCT, histology and Raman microspectroscopy. |
• | The signs of bone remodelling were evidenced by microscopy and histology. |
• | Raman spectroscopy can be used to identify blood clots. |
Summary |
The objective of our study was to assess the reliability of the estimation of posttraumatic survival time (PTST) in forensic cases based on microCT and histology of putrefied/dry bone samples with comparison of initial macroscopic fracture classification performed during autopsy. Macroscopic morphological patterns of bone fracture are routinely used in forensic pathology and anthropology to distinguish between antemortem, perimortem and postmortem injuries. Based on macroscopic and microscopic analysis of six craniofacial fractures, our study results illustrate the need to complete macroscopical findings and initial fracture classification with microscopic analysis to avoid any inaccuracy. MicroCT has become a powerful technique to identify early bone healing signs but histology remains the gold standard to estimate the PTST and determine vital fracture based on hemorrhage marker. Raman microspectroscopy can identify a blood clot in the fracture line.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
L’objectif de notre étude était d’évaluer la fiabilité de l’estimation du délai de survie post-traumatique (PTST) dans les cas médico-légaux sur la base de l’analyse microtomographique et histologique d’échantillons osseux putréfiés/secs et de comparer ces résultats à la classification macroscopique des fractures réalisée lors de l’autopsie. Les caractéristiques morphologiques macroscopiques des fractures osseuses sont couramment utilisées en médecine légale et en anthropologie médico-légale pour distinguer les traumatismes antemortem, perimortem et postmortem. Basée sur les résultats macroscopiques et microscopiques de six fractures crânio-faciales, notre étude illustre la nécessité de compléter la classification macroscopique initiale des fractures par les observations microscopiques pour éviter les erreurs. La microtomographie X permet d’identifier les premiers signes de réparation osseuse mais l’histologie demeure la technique de référence pour estimer le délai de survie post traumatique et déterminer la vitalité d’une fracture basée sur la mise en évidence d’uninfiltrat hémorragique. La microspectroscopie Raman peut permettre d’identifier un caillot sanguin dans le trait de fracture.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Skull fracture, Posttraumatic survival time, MicroCT, Bone histology, Forensic anthropology
Plan
Vol 104 - N° 344
P. 27-37 - mars 2020 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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