Prélèvement d'organes chez les patients en état de mort encéphalique et à cœur arrêté - 18/11/19
Résumé |
La transplantation d'organes solides est devenue un traitement standard des insuffisances d'organes terminales rénales, hépatiques, cardiaques et respiratoires. En France, plus de 5000 transplantations sont réalisées chaque année et plus de 50 000 patients sont porteurs d'un greffon fonctionnel. Parallèlement, l'augmentation des inscriptions sur liste d'attente induit une augmentation des délais d'attente et de la mortalité sur liste. Lutter contre la pénurie d'organes est ainsi devenue une priorité nationale. Les « Plans greffes » successifs du ministère de la Santé et de l'Agence de la biomédecine fixent les objectifs chiffrés et les axes stratégiques d'amélioration. Le médecin de soins critiques doit : connaître les bases de l'organisation et du cadre réglementaire de l'activité de prélèvement d'organes, savoir identifier les donneurs potentiels, savoir diagnostiquer la mort encéphalique, connaître les principales contre-indications et les principaux critères de qualification des greffons, connaître les bases de la réanimation d'organes. La compétence et l'investissement de tous les acteurs de la filière du don d'organes représentent un véritable enjeu de santé publique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Don d'organes, Mort encéphalique, Réanimation d'organes, Prélèvement d'organes, Prélèvement d'organes à cœur arrêté, Transplantation
Plan
Pour citation, ne pas utiliser la référence ci-dessus de cet article, mais la référence de la version originale publiée dans EMC - Médecine d'urgence 2019;14(2):1-9 [25-210-C-10]. |
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