Imagerie nucléaire du bilan d'extension du cancer de la prostate - 15/05/19
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Résumé |
Une stadification correcte des patients est primordiale afin de décider d'une stratégie thérapeutique optimale, d'autant plus qu'on distingue de nos jours les patients en situation oligométastatique, pouvant se voir proposer des thérapeutiques ciblées locales à la place des traitements systémiques de déprivation androgénique habituels. La médecine nucléaire a une place importante dans l'imagerie du cancer de la prostate (CaP). En analysant le remodelage osseux, la scintigraphie osseuse (SO) aux bisphosphonates marqués avec du (99m) technétium, utilisée depuis des années pour l'exploration des pathologies du squelette, n'étudie toutefois que la progression métastatique osseuse. En explorant le métabolisme lipidique des membranes et l'expression de récepteurs membranaires, la fluorocholine (FCH) et les ligands radiomarqués de l'antigène membranaire spécifique de la prostate (PSMA) utilisés en tomographie par émission (TEP) de positons couplée à la tomodensitométrie (TDM), ou plus récemment à l'imagerie par résonance magnétique (IRM), en affinent le bilan d'extension, et identifient avec une haute spécificité et une haute sensibilité tous les sites potentiels de localisation métastatique. Par ailleurs, d'autres radiopharmaceutiques en cours de développement permettront le couplage de l'imagerie diagnostique et de la thérapie d'une même cible biologique en adaptant le radioélément, et deviendront incontournables dans la prise en charge du CaP.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Cancer de prostate, TEP/TDM, PSMA, Scintigraphie osseuse
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