Points essentiels de la prévention du risque médico-légal en chirurgie gynécologique - 04/12/18
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Tout en modernisant les relations patients-médecins, la loi du 4 mars 2002 a formalisé la prise en charge médicale et institué de nouvelles règles d'indemnisation des accidents médicaux non fautifs ou fautifs. Il est nécessaire, pour tout chirurgien, d'intégrer ces principes dans sa pratique courante. Le risque de se voir exposé à une plainte est une réalité à laquelle le praticien sera confronté, au moins 3 à 4 fois au cours de sa carrière. Les rapports publiés par les grands groupes d'assurance en 2017 en témoignent : le nombre de sinistres déclarés y est au mieux stable, au pire en augmentation. Les hausses, variables selon les spécialités, s'accompagnent de niveaux d'indemnisation plus élevés, et dans deux cas sur trois, une condamnation est prononcée. Il faut que chaque chirurgien identifie ce risque inhérent à sa pratique et mette en place tous les moyens de prévention d'une demande d'indemnisation ou d'une action judiciaire à son encontre, moyens qui doivent être adaptés à son mode d'exercice et pris en compte comme toute autre complication de son acte chirurgical.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Chirurgie gynécologique, Chirurgie fonctionnelle, Complications chirurgicales, Judiciarisation médicale, Aléa thérapeutique, Risque médico-légal, Gestion des risques
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