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Relation entre surcharge pondérale, obésité et vitamine D chez la femme tunisienne - 25/08/18

Doi : 10.1016/j.ando.2018.06.754 
M. Naifar, Dr a, K. Jmal, Dr a, M. Elleuch, Dr b, H. Triki, Dr a, M. Mnif, Dr b, M. Abid, Pr b, , F. Ayedi, Pr a
a Laboratoire de biochimie, CHU Habib Bourguiba Sfax, Sfax, Tunisie 
b Service d’endocrinologie, CHU Hedi Chaker Sfax, Sfax, Tunisie 

Auteur correspondant.

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Résumé

Introduction

La surcharge pondérale et l’obésité peuvent entraîner de nombreuses complications notamment cardiovasculaires mais peuvent aussi perturber le métabolisme phosphocalcique. Le but de ce travail est de déterminer l’impact de la surcharge pondérale et l’obésité sur le taux de vitamine D chez les femmes tunisiennes.

Patients et méthodes

Les femmes incluses dans l’étude étaient indemnes de toute pathologie articulaire ou inflammatoire, les critères d’exclusion étaient la grossesse et l’allaitement et la supplémentation vitaminique. Chaque participante a bénéficié d’un questionnaire détaillé, de la mesure du poids et de la taille et le calcul de l’indice de masse corporel (IMC) et d’un bilan phosphocalcique et métabolique. Nous avons divisé les sujets d’étude en 2 groupes selon l’IMC : groupe 1 IMC<25kg/m2 et groupe 2 IMC>25kg/m2.

Résultats

Trois cent trente-quatre femmes ont été incluses dans l’étude. L’âge moyen était 44,9±18 ans (19–89).

Les taux moyens du calcium, du phosphore et des phosphatases alcalines et de la 25OH vit D étaient respectivement plus élevés chez femmes du groupe 2 par rapport aux femmes du groupe 1, et ceci d’une manière significative.

Le taux moyen de 25OH vit D était 9,14±8,95ng/mL. L’hypovitaminose était présente chez 274 sujets (82,03 %). Le taux de 25OH vit D était statistiquement plus élevé chez les femmes du groupe 2 par rapport au groupe 1 (11,24±9,88ng/mL vs 8,12±8,51ng/mL, p=0,02).

Conclusion

L’hypovitaminose est fréquente en Tunisie mais elle semble moins importante chez les femmes en surpoids ou obèses.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

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Vol 79 - N° 4

P. 426 - septembre 2018 Retour au numéro
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