Mouvements anormaux et psychiatrie - 11/07/18
Article en cours de réactualisation
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Résumé |
La séparation classique entre la psychiatrie et la neurologie s'estompe en partie en raison d'une meilleure connaissance des troubles cognitivocomportementaux dans les maladies neurologiques. Certaines structures, dont les ganglions de la base, sont impliquées à la fois dans la motricité et le comportement. Les maladies de Parkinson et de Gilles de la Tourette illustrent tout à fait bien ces deux facettes. D'autres pathologies du mouvement sont plus rares ou moins connues. Les psychiatres doivent pourtant apprendre à les évoquer car le tableau psychiatrique peut être isolé et l'absence de traitement spécifique peut grever le pronostic, par exemple dans les maladies de Wilson et de Niemann-Pick C. Ainsi, la reconnaissance par le psychiatre de certains troubles : tremblement (Parkinson, démence à corps de Lewy), tics (Gille de la Tourette), dystonie (Wilson, Niemann-Pick C, Huntington), mouvements choréiques (Huntington, encéphalite limbique), myoclonies (Creutzfeldt-Jakob), ataxie (Wilson, Niemann-Pick C, Huntington), et paralysie supranucléaire du regard (Niemann-PickC) est essentielle.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Mouvements anormaux, Parkinson, Gilles de la Tourette, Wilson, Huntington
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