Grossesse extra-utérine - 13/04/18
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Résumé |
L'incidence des grossesses extra-utérines (GEU) est estimée à 2 % de toutes les grossesses. La trompe et particulièrement l'ampoule en sont les localisations les plus fréquentes. Les facteurs de risque principaux sont tous maternels, à savoir l'antécédent de GEU, le tabagisme, l'infection génitale, le dispositif intra-utérin, l'âge supérieur à 35 ans, les microprogestatifs et l'infertilité. L'utilisation combinée du dosage sérique de beta human chorionic gonadotropin (βhCG) et de l'échographie endovaginale a permis d'améliorer le diagnostic précoce. Le concept de degré d'activité de la GEU est utilisé afin d'améliorer la stratégie thérapeutique en proposant l'abstention thérapeutique aux GEU très peu actives (βhCG < 1500 UI/l), le traitement par méthotrexate aux GEU peu actives (βhCG < 5000 UI/l) et en réservant le traitement chirurgical par salpingotomie ou salpingectomie aux GEU actives. Aucune différence significative n'est retrouvée sur la fertilité ultérieure indépendamment de l'option thérapeutique choisie.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Grossesse extra-utérine, Étiologie, Diagnostic, Prise en charge
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