Implication des éléments traces dans la pathogenèse et la progression de la MPI - 27/03/18
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Résumé |
Introduction |
La pathogénie de la maladie de parkinson idiopathique (MPI) est multifactorielle. L’implication des éléments traces tels que le fer, le cuivre et le zinc est discutée.
Objectifs |
Étudier l’implication de certains éléments traces dans la pathogenèse de la MPI.
Méthodes |
Il s’agit d’une étude transversale incluant 105 patients diagnostiqués MPI et 67 témoins sains. Le dosage du fer, du zinc et du cuivre a été réalisé chez tous les participants à l’étude puis leurs taux ont été comparés entre les deux groupes.
Résultats |
Chez les patients atteints de MPI, il n’y a pas de différence significative des taux sériques du fer et du zinc mais les taux sériques de cuivre étaient significativement plus élevés chez les patients traités (p=0,008). Aussi, un taux sérique de fer plus élevé à été noté chez les patients dont la durée d’évolution est inférieure à 5 ans.
Discussion |
Plusieurs revues ont prouvé que les éléments traces induisent la formation de radicaux libres dans le cerveau par leur implication dans les réactions d’oxydoréduction et par l’action sur certaines enzymes, ce qui provoquerait une neurodégénérescence. Aussi, la destruction des cellules dopaminergiques par le Cuivre serait précipitée par la lévodopa.
Conclusion |
L’implication des éléments traces dans la pathogénie de la MPI pourrait avoir des implications thérapeutiques telles que les chélateurs de ces éléments.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Cuivre, Éléments traces, Maladie de Parkinson
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Vol 174 - N° S1
P. S115-S116 - avril 2018 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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