Principles, rules, and the deflation of the good in bioethics - 08/12/17
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Prior to the Nuremberg Code, German Law had prohibited research on subjects without their consent. Yet, German Law could not restrain the Nazi research machine. Likewise, the United States Public Health Service continued research on poor black men in the southern US for 25years after the promulgation of the Nuremberg Code. Once the Tuskegee Experiments were exposed, it prompted philosophers to articulate the more general and philosophically robust norms and principles that should ground and guide all future research and practice. Yet, this move to more general principles results in the deflation of metaphysical concepts traditionally thought necessary for ethics, namely the concept of the good and the concept of persons. Put differently, modern principles of biomedical ethics that seek to avoid pluralism and relativism grounds its ideas in the philosophy of right action at the expense of the philosophy of good. This essay argues that, because medicine is aimed at health, and the goods possible for persons in health, any ethics of medicine must be grounded in a philosophy of the goods for persons and goods of persons.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Avant le Code Nuremberg, la loi allemande interdisait la recherche sur les personnes sans leur consentement. Pourtant, cette loi allemande n’a pas pu freiner la machine de recherche nazie. De la même façon, le service de santé public américain a continué à faire des recherches sur de pauvres hommes noirs dans les états du sud pendant 25 ans après la promulgation du Code de Nuremberg. Lorsque les expériences de Tuskegee ont été rendues publiques, cela a poussé les philosophes à édifier des principes et des normes plus robustes pour encadrer et guider les futures recherches et pratiques. Pourtant ce mouvement vers des principes plus généraux a contribué à réduire les concepts métaphysiques traditionnellement nécessaires pour la réflexion éthique, le concept du bien et le concept de personne. En d’autres termes, les principes modernes de la bioéthique médicale qui cherchent à éviter le pluralisme et le relativisme trouvent leurs justifications dans la philosophie du juste au détriment de la philosophie du bien. Cet essai explique que comme la médecine vise la santé et ce qui est bon pour la personne en termes de santé, l’éthique médicale doit se fonder sur une philosophie de ce qui est bénéfique pour les personnes et des biens pour les personnes.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Codes of ethics, Metaphysics of persons, Moral imaginary, Philosophy of the good, Principles
Mots clés : Codes éthiques, Métaphysique de la personne, Imagination morale, Philosophie du bien, Principes
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Vol 3 - N° 4
P. 445-451 - octobre 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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