Étapes diagnostiques de l'encéphalopathie chronique aux solvants - 01/11/17
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À ce jour, il n'y a pas de critères diagnostiques standardisés de l'encéphalopathie chronique aux solvants industriels, reconnus internationalement. Cet article présente la procédure diagnostique utilisée en Belgique et aux Pays-Bas ; elle est fondée sur une expérience de plus de vingt ans. Elle repose sur quatre piliers. Un historique des expositions professionnelles est établi avec une approche quantitative par le calcul de la valeur d'exposition cumulée. Les deux étapes suivantes sont cliniques : diagnostic positif avec la recherche des plaintes classiques, puis diagnostic différentiel consistant à exclure d'autres causes aux plaintes du patient. Des investigations (neurophysiologiques et imagerie) sont couramment effectuées. La dernière étape est l'évaluation des plaintes par des tests neuropsychologiques (propres à chaque équipe). Leur rôle est notamment de confirmer le diagnostic final d'encéphalopathie chronique liée aux solvants et donc de permettre une indemnisation (uniquement en Belgique). Malgré l'absence de consensus dans le choix des tests (validés avec des scores de seuil ou non), la procédure mise en œuvre par nos équipes a permis de confirmer le diagnostic d'encéphalopathie chronique aux solvants avec une concordance de 90 % (lors de comparaison interéquipe).
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Solvants industriels, Procédure diagnostique, Valeur limite d'exposition cumulée, Encéphalopathie chronique, Évaluation neuropsychologique, Belgique, Pays-Bas
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