Contrôle de la contamination fongique environnementale en milieu hospitalier et au domicile - 01/11/17
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Les moisissures sont ubiquitaires dans notre environnement, au domicile, au travail, mais aussi à l'hôpital. L'exposition aux réservoirs environnementaux de micromycètes tels qu'Aspergillus peut être à l'origine de multiples manifestations, depuis l'infection (localisée ou invasive) jusqu'aux atteintes allergiques. À l'hôpital, les aspergilloses invasives font partie des infections liées aux soins les plus graves. Elles peuvent être transmises par l'air mais aussi d'autres gîtes environnementaux : surfaces, eau, aliments. La prévention des infections fongiques invasives repose sur deux stratégies : la chimioprophylaxie et la maîtrise de l'aérobiocontamination via la conception de secteurs d'hébergement dits « protégés ». Les périodes de travaux en établissements de santé génératrices de risque environnemental fongique nécessitent également des mesures de prévention spécifiques. Au domicile ou sur les autres lieux de vie, l'exposition récurrente et prolongée peut conduire à des tableaux d'infections chroniques ou immunoallergiques, en fonction de différents facteurs prédisposants. Les outils de la surveillance de la biocontamination fongique environnementale et l'interprétation des résultats sont ici présentés en distinguant environnement hospitalier et environnement domiciliaire.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Contrôle de l'environnement, Risque domiciliaire, Risque fongique environnemental, Aérocontamination, Biocollecteur, Allergie, Aspergillose, Aspergillose invasive, Aspergillus
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