Assessment of high-priced systemic antifungal prescriptions - 22/09/17
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Abstract |
Objectives |
To assess compliance with international guidelines for costly antifungal prescriptions and to compare these results with a first study performed in 2007.
Methods |
Retrospective study including all costly antifungal prescriptions made in surgical and medical intensive care units and in a hepatobiliary, pancreatic, and digestive surgery unit. Prescriptions were assessed in terms of indication, dosage, and antifungal de-escalation.
Results |
Seventy-four treatments were analyzed. Treatments were prescribed for prophylactic (1%), empirical (22%), pre-emptive (16%), or targeted therapy (61%). Caspofungin accounted for 68% of prescriptions, followed by voriconazole (20%) and liposomal amphotericin B (12%). Indication was appropriate in 91%, debatable in 1%, and inappropriate in 8%. Dosage was appropriate in 69%, debatable in 8%, and inappropriate in 23%. Prescriptions were inappropriate for the following reasons: lack of dosage adjustment in light of the hepatic function (10 cases), underdosage or excessive dosage by>25% of the recommended dose in seven cases. De-escalation to fluconazole was implemented in 40% of patients presenting with a fluconazole-susceptible candidiasis.
Conclusion |
The overall incidence of appropriate use was higher in 2012 compared with 2007 (62% and 37% respectively, P=0.004). Nevertheless, costly antifungal prescriptions need to be optimized in particular for empirical therapy, dosage adjustment, and potential de-escalation to fluconazole.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectifs |
Évaluer le respect des bonnes pratiques cliniques de prescription d’antifongiques coûteux en conformité avec les recommandations internationales et comparer ces résultats à une première enquête réalisée en 2007.
Méthode |
Étude rétrospective incluant toutes les prescriptions d’antifongiques coûteux dans un service de réanimation médicale, de réanimation chirurgicale et de chirurgie digestive, endocrinienne et hépatique. L’évaluation a porté sur les critères suivants: indication, posologie et désescalade.
Résultats |
Soixante-14 antifongiques coûteux ont été prescrits. Les types de traitements étaient: prophylactiques (1 %), empiriques (22 %), pré-emptifs (16 %) et curatifs (61 %). La caspofungine était prescrite dans 68 % des cas, suivie du voriconazole (20 %) et de l’amphotéricine B liposomale (12 %). Les indications étaient appropriées dans 91 % des cas, discutables dans 1 % et inappropriées dans 8 %. La posologie était appropriée dans 69 % des cas, discutable dans 8 % et inappropriée dans 23 %. Les prescriptions ont été jugées inappropriées pour les motifs suivants: absence d’adaptation à la fonction hépatique (10 cas), sous- ou surdosage de plus de 25 % de la posologie recommandée dans 7 cas. La désescalade au fluconazole au cours d’infection à Candida fluconazole sensible a été réalisée dans 40 % des cas.
Conclusion |
L’incidence globale des traitements appropriés était supérieure en 2012 comparativement à 2007 (62 % et 37 % respectivement, p=0,004). Les prescriptions d’antifongiques coûteux nécessitent d’être optimisées notamment en termes de traitement empirique, d’adaptation de posologie et de désescalade au fluconazole lorsqu’elle est possible.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Aspergillosis, Candidiasis, Antifungal therapy
Mots clés : Aspergilloses, Candidoses, Antifongiques
Plan
☆ | This study was presented as a poster at the 42nd ESCP Symposium on Clinical Pharmacy, 16–18 October, Prague. |
Vol 47 - N° 6
P. 382-388 - octobre 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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