High pressure balloon dilatation of the ureterovesical junction in primary obstructive megaureter: Infectious morbidity - 14/09/17

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Summary |
Introduction |
The objective of this study is to investigate the infectious morbidity associated with high-pressure balloon dilatation (HPBD) and an indwelling double J stent, in primary obstructive megaureter.
Methods |
We reviewed the cases of 12 patients undergoing endoscopic treatment for primary obstructive megaureter from January 2012 to January 2015. The characteristics of the infection and data concerning the patient and the intervention were analyzed.
Results |
The frequency of preoperative urinary tract infection (UTI) was 58%. The procedure was feasible in 100% of cases. Two patients required a second dilatation. One patient underwent Cohen's ureteral reimplantation after failure of the second dilatation. The frequency of postoperative UTI was 25%. All these infections occurred in patients with a double J stent. None of the patients had UTI after stent removal. None of the patients developed postoperative vesicoureteral reflux (VUR) after HPBD.
Conclusion |
Endoscopic balloon dilatation has been shown to have good short- mid- and long-term outcomes. In our experience, the morbidity of this procedure mostly results from infections, exclusively related to the use of a double J stent. The placement of a double J stent has a significant medical and economic impact. A definitive decision about the utility of double J stents will require studies of further dilatation without the placement of a double J stent.
Level of evidence |
4.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Introduction |
L’objectif de notre travail était d’étudier la morbidité infectieuse de la dilatation endoscopique de la jonction urétérovésicale associée à une pose de sonde JJ, dans le cadre du traitement du méga-uretère primitif obstructif (MUPO).
Matériel |
Les dossiers de 12 patients traités par dilatation endoscopique entre janvier 2012 et janvier 2015 ont été revus. Les caractéristiques infectieuses, des patients et de l’intervention ont été analysées.
Résultats |
Le taux de pyélonéphrites préopératoire était de 58 %. La dilatation était possible dans 100 % des cas. Une deuxième dilatation endoscopique a été nécessaire dans 2 cas. Une seule réimplantation urétérovésicale a été réalisée après échec d’une deuxième dilatation. Le taux de pyélonéphrites postopératoires était de 25 %. Toutes sont survenues sur sonde JJ. Aucune infection urinaire fébrile post-ablation de sonde JJ n’est survenue. Il n’a pas été découvert de reflux vésicourétéral postopératoire.
Conclusion |
La dilatation endoscopique est associée à de bons taux de réussite à court, moyen et long termes. La morbidité de cette technique, dans notre série, était principalement infectieuse et exclusivement liée à la sonde JJ. La pose de sonde JJ lors de cette technique a un impact médico-économique non négligeable. Des tentatives de dilatation endoscopique sans pose de sonde JJ pourrait être discutées.
Niveau de preuve |
4.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Primary obstructive megaureter, Double J stent, Iatrogenic vesicoureteral reflux, Febrile urinary tract infection
Mots clés : Mégauretère obstructif primitive, Sonde JJ, Reflux vésicourétéral iatrogène, Infections urinaires fébriles
Plan
Vol 27 - N° 10
P. 507-512 - septembre 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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