Is the deciduous/permanent molar enamel thickness ratio a taxon-specific indicator in extant and extinct hominids? - 26/08/17
Abstract |
In Primates, enamel thickness variation stems from an evolutionary interplay between functional/adaptive constraints (ecology) and the strict control mechanisms of the morphogenetic program. Most studies on primate enamel thickness have primarily considered the permanent teeth, while the extent of covariation in tooth enamel thickness distribution between deciduous and permanent counterparts remains poorly investigated. In this test study on nine extant and fossil hominids we investigated the degree of covariation in enamel proportions between 25 pairs of mandibular dm2 and M1 by a so-called “lateral enamel thickness diphyodontic index”. The results did not provide an unambiguous picture, but rather suggest complex patterns likely resulting from the influence of many interactive factors. Future research should test the congruence of the “diphyodontic signal” between the anterior and the postcanine dentition, as well as between enamel and the enamel-dentine junction topography.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Chez les primates, le patron de variation d’épaisseur de l’émail est issu d’un compromis évolutif entre contraintes fonctionnelles/adaptatives (écologiques) et mécanismes de contrôle morphogénétique. La majorité des études portant sur l’épaisseur de l’émail des primates concerne les dents permanentes, tandis que le degré de covariation de distribution d’épaisseur de l’émail entre les équivalents déciduaux et permanents reste encore méconnu. Dans cette étude préliminaire, nous explorons le degré de covariation des proportions d’émail entre 25 paires de dm2 et M1 mandibulaires de neuf hominidés actuels et fossiles en élaborant un « indice diphyodonte d’épaisseur de l’émail latéral ». Les résultats ne montrent pas un signal évident, mais suggèrent plutôt des modèles complexes résultant probablement de l’influence d’interactions entre des facteurs variés. De futures recherches sur le sujet devraient tester le degré de congruence du « signal diphyodonte » entre les dents antérieures et post-canines, ainsi qu’entre l’émail et la topographie de la jonction émail–dentine.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Enamel, Dm2, M1, “Diphyodontic index”, Hominids
Mots clés : Émail, Dm2, M1, « Indice diphyodonte », Hominidés
Plan
Vol 16 - N° 5-6
P. 702-714 - août 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.