Occult hepatitis B infection and transfusion-transmission risk - 23/08/17
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Abstract |
Advances in serology and viral nucleic acid testing (NAT) over the last decades significantly reduced the risk of transfusion-transmitted hepatitis B virus (HBV). The combination of HBsAg testing and NAT efficiently prevents the majority of HBV transmission. However, a specific residual risk remains associated with extremely low viral DNA levels in blood donors with occult HBV infection (OBI) that are intermittently or not detectable even by highly sensitive individual donation (ID) NAT. Studies have reported HBV transfusion-transmission with blood components from donors with OBI that contained low amount of viruses (<200 virions). HBV transfusion-transmission seems to depend on a combination of several factors including the volume of plasma associated with the infected blood components transfused, the anti-HBV immune status of both recipient and donor, and possibly the viral fitness of the infecting HBV strain. Models based on clinical and experimental evidences estimate a residual transmission risk of 3–14% associated with OBI donations testing HBsAg and ID-NAT non-reactive. Anti-HBc testing has the potential to improve further blood safety but it may also compromise blood availability in settings with medium/high HBV prevalence. Pathogen reduction procedures might be considered.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
L’amélioration des performances des tests sérologiques et le développement des techniques de détection du génome viral ont réduit significativement le risque de transmission du virus de l’hépatite B (VHB) par transfusion. L’association du dépistage de l’AgHBs et du génome viral s’avère efficace pour prévenir la grande majorité des infections à VHB. Cependant, un risque résiduel transfusionnel lié aux donneurs porteurs d’une infection B occulte et présentant des niveaux extrêmement faibles d’ADN viral indétectables ou détectés de façon intermittente par les tests DGV unitaires les plus sensibles persiste, particulièrement dans les pays ne dépistant pas les anti-HBc. Des cas de transmission par des produits sanguins provenant de tels sujets et contenant de faibles quantités de virus (<200 virions) ont été rapportés. La transmission de l’infection B semble dépendre de plusieurs facteurs non-exclusifs tels que le volume de plasma associé au produit sanguin infecté transfusé, le statut immunitaire anti-HBV du receveur et/ou du donneur, et éventuellement les propriétés réplicatives de la souche virale infectante. Des modèles développés sur la base de données cliniques et expérimentales estiment un risque de transmission virale lié aux dons infectés par le VHB et échappant au dépistage de l’AgHBs et de l’ADN viral entre 3 % et 14 %. Le dépistage des anticorps anti-HBc en combinaison avec le DGV pourrait renforcer la sécurité transfusionnelle mais en compromettant la disponibilité des produits sanguins dans des zones de moyenne et forte endémie pour le VHB. Le recours à des méthodes de réduction des agents pathogènes dans les dons peut être envisagé.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Hepatitis B virus, Blood safety, Transfusion-transmission, Occult HBV infection, Nucleic acid testing
Mots clés : Virus de l’hépatite B, Sécurité transfusionnelle, Transmission par transfusion, Infection B occulte, Détection du génome viral
Plan
Vol 24 - N° 3
P. 189-195 - septembre 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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