Hyperglycémies iatrogènes en dehors du virus de l'immunodéficience humaine - 15/05/17
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Résumé |
L'induction d'une hyperglycémie, voire d'un diabète, par des médicaments n'est pas une nouveauté puisqu'on connaît de longue date ce risque avec les glucocorticoïdes ou les diurétiques thiazidiques. Cependant, les progrès en matière de suivi clinique et de pharmacovigilance ont vu émerger ce type d'effet indésirable pour de nombreux produits appartenant à des classes très diverses telles que les antipsychotiques, les anticancéreux, les anti-infectieux ou les immunosuppresseurs. Les mécanismes impliqués touchent à l'ensemble des processus de régulation de l'homéostasie glucidique et peuvent être intriqués pour une seule et même molécule. Cependant, si les mécanismes peuvent sembler complexes, leur compréhension peut aider à identifier un produit comme à risque et conduire à sa contre-indication ou à la mise en place d'un suivi clinique adapté. Finalement, l'imputabilité d'un médicament dans le déclenchement d'un diabète doit faire la part des choses avec un terrain à risque ou la présence de la pathologie avant l'instauration du traitement. Cet article expose les mécanismes pharmacologiques potentiels puis décrit la présentation clinique habituelle des diabètes et hyperglycémies iatrogènes médicamenteuses.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Diabètes iatrogènes, Hyperglycémie, Corticoïdes, Antipsychotiques, Immunosuppresseurs, Anticancéreux, Antihypertenseurs, Hypolipémiants
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