Toxicité rénale des anticancéreux - 13/03/17
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Résumé |
La tolérance rénale des anticancéreux est un problème lié à la fois à la toxicité intrinsèque de certaines chimiothérapies anticancéreuses et au terrain représenté par le patient cancéreux lui-même. Le patient atteint de cancer est en effet exposé à tous les types d'atteinte rénale (obstructive, fonctionnelle, organique secondaire aux traitements, à la radiothérapie, à une glomérulopathie paranéoplasique, à une microangiopathie thrombotique, etc.). L'index thérapeutique des anticancéreux est souvent faible et les doses prescrites élevées pour obtenir une efficacité optimale sur la cellule cancéreuse. L'amélioration de la tolérance passe par la meilleure adaptation des doses, elle-même conditionnée par l'évaluation correcte de la fonction rénale. La prévention reste indispensable d'autant que la mortalité associée à l'insuffisance rénale aiguë est très élevée.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Néphrotoxicité, Insuffisance rénale, Cisplatine, Ifosfamide, VEGF, BRAF
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