Apport de l’IRM dans les malformations cérébrales chez l’enfant - 09/03/17
Résumé |
Objectifs |
Préciser l’intérêt de l’IRM dans le diagnostic et la caractérisation des malformations cérébrales. Illustrer et décrire la sémiologie IRM des différentes malformations cérébrales chez l’enfant.
Matériels et méthodes |
Étude rétrospective portant sur 40 dossiers explorés dans le service de radiologie du CHU Mohammed VI d’Oujda sur une période de 2 ans. L’âge moyen est de 6 ans avec 17 filles et 23 garçons. Le motif de consultation était : une macrocanie n=5, dysmorphie faciale n=6, épilepsie n=10, retard psychomoteur n=16 et symptômes neurologiques divers n=3. Tous les patients ont bénéficié d’une imagerie par résonance magnétique sur un appareil 1,5 tesla. Le protocole réalisé était : une séquence pondérée en spin echoT1/T2, une séquence pondérée en fluid attenuation inversion recovery (FLAIR), une séquence pondérée en écho de gradient T2 (T2 EG), une séquence pondérée en diffusion et une séquence pondérée 3D T1 FSPGR.
Résultats |
Les malformations retrouvées sont : anomalies de la fermeture du tube neural n=2, anomalies de la diverticulation n=2, anomalies de développement du rhombencéphale n=10, anomalies de la gyration et migration n=20, anomalies de la croissance n=6.
Conclusion |
Les malformations cérébrales ne sont pas rares en milieu pédiatrique. Elles sont variées et dans la majorité des cas, elles sont de mauvais pronostic. L’IRM reste l’examen de choix dans le diagnostic et la caractérisation des lésions.
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Vol 44 - N° 2
P. 108 - mars 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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