Implementation of intensity-modulated radiotherapy for head and neck cancers in routine practice - 08/03/17
pages | 7 |
Iconographies | 1 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Abstract |
Purpose |
To report on patterns of relapse following implementation of intensity-modulated radiotherapy and subsequent changes in practice in a tertiary care centre.
Patients and methods |
Between 2008 and 2011, 188 consecutive patients (mean age 59 years old) received intensity-modulated radiotherapies with curative intent for squamous cell carcinomas of the oral cavity (17.5%), oropharynx (43%), hypopharynx (21%), larynx (14%), sinonasal cavities (6%), nasopharynx (1.5%) at the university hospital of Besançon. There were stage I and II 9%, III 24.5%, IV 66.5%. One hundred and thirty-eight underwent exclusive intensity-modulated radiotherapy, 50 underwent postoperative intensity-modulated radiotherapy, 174 had concurrent chemotherapy, 57 had induction chemotherapy. Dynamic intensity-modulated radiotherapy with static fields was performed for all patients using sequential irradiation in 174 patients and simultaneous integrated boost irradiation in 14 patients.
Results |
With a median follow-up was 27.5 months, there was 79% of locoregional failures occurred in the 95% isodose. Two-year overall survival, disease-free, local failure-free and locoregional failure-free survival rates were73%, 60%, 79% and 72%, respectively. Prognostic factors for disease-free survival were stage (IV vs. I–III) with a relative risk of 1.7 [1.1–2.8] (P=0.02) and T stage with 1.6 [1.04–2.5] (P=0.03).
Conclusion |
The current series showed similar patterns of failure as in other tertiary care centres. We did not identify intensity-modulated radiotherapy specific relapse risks.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif de l’étude |
Identifier les sites de récidives locorégionales dans les carcinomes de la tête et du cou après radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité (RCMI) utilisée en pratique quotidienne.
Patients et méthodes |
Entre 2008 et 2011, 188 patients consécutifs âgés en moyenne de 59 ans (27–82), atteints d’un carcinome de la cavité buccale (17,5 %), de l’oropharynx (43 %), de l’hypopharynx (21 %), du larynx (14 %), du sinus maxillaire (6 %) et du nasopharynx (1,5 %) ont reçu une RCMI avec intention curative au centre hospitalier régional universitaire de Besançon. La répartition par stade était I et II pour 9 %, III pour 24,5 %, IV pour 66,5 %. Cent trente-huit patients atteints d’une tumeur en place ont reçu une RCMI exclusive, 50 en situation postopératoire, 174 ont eu reçu chimiothérapie concomitante, 57 une chimiothérapie d’induction. Une RCMI dynamique avec par faisceaux fixes a été délivrée à tous les patients, de manière séquentielle pour 174 d’entre eux et selon un schéma de « boost intégré » chez les 14 autres.
Résultats |
Avec un suivi médian de 27,5 mois, un échec locorégional est survenu dans l’isodose 95 % de la dose totale dans 79 % des cas. Les taux de survie globale, de survie sans échec, de survie sans échec local, de survie sans échec locorégional à 2 ans étaient respectivement de 73 %, de 60 %, de 79 % et de 72 %. Les facteurs pronostiques de survie sans évènement retrouvé étaient le stade (IV contre I à III), avec un risque relatif de 1,7 [1,06 ; 2,75] (p=0,02), et le stade T de la tumeur, avec un risque relatif de 1,6 [1,04 ; 2,53] (p=0,03).
Conclusion |
Il a été retrouvé dans notre série les mêmes causes d’échecs que dans les autres centres. Nous n’avons pas identifié de facteurs d’échec spécifiques à l’utilisation de la technique de RCMI.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Treatment planning, IMRT, Head and neck cancer, Locoregional failures
Mots clés : Planification de traitement, RCMI, Carcinomes de la tête et du cou, Échecs locorégionaux
Plan
☆ | This study was presented as oral communication at the annual meeting of the Société française de radiothérapie oncologique 2013. |
Vol 21 - N° 1
P. 21-27 - février 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?