Influence des symptômes sur la prescription des traitements inhalés en vraie vie chez les patients BPCO Gold I à IV - 11/01/17
Résumé |
Introduction |
Les recommandations françaises pour la prescription des traitements inhalés reposent actuellement sur la classification Gold 2007, basée uniquement sur le VEMS. Le comité Gold international a proposé en 2011 une nouvelle classification en intégrant les symptômes, les exacerbations et la qualité de vie. La nouvelle classification 2017 devrait proposer une stratification basée essentiellement les symptômes. Dans cette perspective, nous avons voulu observer à partir de l’observatoire Colibri-BPCO 1 si l’ampleur des symptômes influençait en vraie vie la prescription des traitements inhalés chez les patients BPCO.
Méthodes |
À partir de la base Colibri-BPCO (n=3435 patients), nous avons comparé les prescriptions des traitements inhalés en fonction de l’ampleur des symptômes pour chaque stade Gold. Les critères et seuils choisis apprécier cette ampleur étaient pour la qualité de vie, la dyspnée liée aux activités quotidiennes et la fréquence des exacerbations respectivement : CAT≥14, DIRECT≥12 et plus de 2 Exacerbations par an.
Résultats |
Voir Fig. 1.
Conclusion |
La prescription en vraie vie des traitements inhalés n’est pas seulement influencée par le niveau de VEMS, mais également par l’importance des symptômes pour une même sévérité fonctionnelle. L’analyse multivariée permettra de préciser si l’association de plusieurs symptômes influence davantage la répartition des prescriptions.
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Vol 34 - N° S
P. A156-A157 - janvier 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.