Human papillomavirus detection using in situ hybridization and correlations with histological and cytological findings - 30/09/16
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Abstract |
Background and objective |
The human papillomavirus (HPV) is the main causative agent of cancerous and precancerous lesions in cervical cancers. The infection detection is performed by cytological and histological examination. However, molecular testing for HPV infection remains necessary to distinguish nonspecific inflammatory lesions from HPV-related lesions. We aimed to compare cytological and histological diagnosis of HPV lesions and to confront histological findings with molecular detection of HPV by in situ hybridization (ISH).
Material and methods |
A total of 2399 pap smears were collected between 1997 and 2002. Twenty-nine of them presented with lesions indicative of HPV infection. Colposcopy and biopsy were performed on 23 of these 29 pap smears, with a comparison of the cytological and histological findings. Molecular testing for HPV by ISH was performed on 11 pap smears.
Results |
A 79% cytological and histological agreement was observed. ISH revealed the presence of the virus in seven case patients, amounting to a 63% histological and molecular agreement. Seven HPV genotypes were categorized (6-11-16-18-31-33-51).
Conclusion |
HPV detection by ISH adds little to the diagnosis of HPV-associated lesions based on cytological and histological features. It, however, helps improve the specificity of the diagnosis and determine the viral genotype which, in turn, helps better define the lesion prognosis.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Introduction et objectif |
Le virus du papillome humain (HPV) est étroitement lié aux lésions cancéreuses et précancéreuses du col utérin. La détection de l’infection à HPV repose sur la cytologie et éventuellement l’histologie. Toutefois, le recours au diagnostic moléculaire s’avère parfois nécessaire afin de distinguer les lésions inflammatoires non spécifiques des lésions dues à l’HPV. L’objectif de cette étude était de comparer le diagnostic cytologique et histologique, d’une part, et moléculaire, d’autre part, par hybridation in situ (HIS) de l’infection à l’HPV.
Matériel et méthode |
Notre étude a porté sur 29 frottis cervicovaginaux présentant des stigmates d’infection virale à HPV parmi les 2399 cas recueillis du service d’anatomie pathologique et cytologique de l’hôpital militaire de Tunis sur une période de cinq ans. Parmi les cas étudiés, 23 ont été suivis de biopsies avec examen histologique et confrontation cytohistologique. La recherche de l’infection par HPV a été réalisée par hybridation in situ sur 11 cas.
Résultats |
Une concordance de 79 % a été retrouvée entre le diagnostic cytologique et histologique des lésions condylomateuses. L’HIS a mis en évidence la présence du HPV dans sept cas, soit une concordance histomoléculaire de 63,63 %. Les génotypes d’HPV détectés étaient 6-11, 16-18 et 31-33-51.
Conclusion |
La détection par HIS du virus HPV contribue faiblement à améliorer le diagnostic de ces lésions par les critères cytomorphologiques. Elle permet, cependant, d’améliorer la spécificité diagnostique et de déterminer le génotype du virus afin de mieux établir le pronostic de ces lésions.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Histology, Human papillomavirus, In situ hybridization
Mots clés : Histologie, Virus du papillome humain, Hybridation in situ
Plan
Vol 46 - N° 7
P. 380-384 - octobre 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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