Management of non-necrotizing cellulitis in France - 30/09/16
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Abstract |
Objective |
We aimed to assess medical practices of French infectious disease specialists or any other relevant physicians related to the management of non-necrotizing cellulitis (NNC).
Methods |
We sent an online questionnaire to members of the French Infectious Diseases Society (SPILF) mailing list in September 2015.
Results |
A total of 108 specialists took part in the survey and 10% (11/107) declared to always admit NNC patients to hospital. As for the others, 18% declared to admit patients in more than 80% of cases, 49% in 50–80% of cases, 26% in 20–50% of cases, and 7% in less than 20% of cases. The most frequent criteria for hospital admission were severe sepsis/septic shock (99%), poor social conditions (99%), rapid extension of skin lesions (93%), high level of pain (86%), and failure of first-line antibiotic therapy (84%). Participants mentioned similar criteria for reasons to initiate the intravenous (IV) antibiotic therapy. Fifty-three percent of respondents declared initiating antibiotic therapy using the IV route in more than 80% of cases. Physicians declared that the usual antibiotic therapy duration were <7 days (6%), 8–10 days (57%), 11–14 days (34%), and >15 days (3%).
Conclusion |
Criteria for hospital admission and use of the IV route for antibiotic therapy as well as optimal treatment duration in patients presenting with NNC need to be detailed in guidelines and evaluated in prospective studies.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Étudier les modalités de prise en charge des dermo-hypodermites bactériennes non nécrosantes (DHBNN) de médecins français infectiologues ou impliqués au quotidien dans la pathologie infectieuse.
Patients et méthodes |
Questionnaire adressé par Internet en septembre 2015 aux membres de la liste de diffusion de la SPILF.
Résultats |
Sur 108 participants, à peine plus de 10 % (11/107) déclaraient hospitaliser de manière systématique les DHBNN. Pour les autres, 18 % disaient hospitaliser dans plus de 80 % des cas, 49 % dans 50 à 80 % des cas, 26 % dans 20 à 50 % des cas, et 7 % dans moins de 20 % des cas. Les critères d’hospitalisation les plus fréquemment cités étaient le sepsis grave/choc septique (99 %), un contexte socioéconomique difficile (99 %), l’extension rapide des lésions cutanées (93 %), le caractère hyperalgique de l’infection (86 %) et l’échec d’une 1re ligne d’antibiothérapie (84 %). Les indications d’antibiothérapie parentérale citées étaient sensiblement les mêmes. Cinquante-trois pour cent des praticiens déclaraient traiter par antibiotique à la phase initiale par voie IV dans plus de 80 % des cas. Les participants déclaraient traiter par antibiothérapie d’une durée de moins de 8jours (6 %), de 8 à 10jours (57 %), de 11 à 14jours (34 %), ou de plus de 15jours (3 %).
Conclusion |
Les indications d’hospitalisation et de traitement IV et la durée optimale de traitement des DHBNN mériteraient d’être détaillées dans les recommandations et restent à étudier par des études prospectives.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Cellulitis, Streptococcus
Mots clés : Dermo-hypodermites bactériennes non nécrosantes, Streptocoque
Plan
Vol 46 - N° 7
P. 355-359 - octobre 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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