Molecular typing and experimental pathogenicity of Candida parapsilosis from patients undergoing deep-seated or superficial candidiasis - 04/03/08
P. Gautret [1],
J. Berthonneau [1],
A. Jabroun [1],
C. Kauffmann-Lacroix [1],
M. Charron [1],
J.L. Jacquemin [1],
M.H. Rodier [1]
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Purpose |
Molecular typing of thirty Candida parapsilosis isolates involved in systemic mycoses (fungemia) or superficial candidiasis (cutaneous mycosis and onychomycosis) was performed. The experimental pathogenicity of the isolates was assessed in mice as well as ability to secrete proteinase.
Materials and methods |
The thirty Candida parapsilosis isolates were typed by different techniques. RFLP was performed with two distinct enzymes, RAPD with four different primers and karyotype was determined by PFGE. The experimental pathogenicity was evaluated in immunodepressed mice and proteinase production was measured on bovine serum albumin containing medium.
Results |
Typing by PFGE evidenced clusters of no more than two isolates and most of the isolates displayed an individual pattern. RFLP and RAPD techniques however, were demonstrated non-discriminant as 28 over 30 isolates showed an identical pattern. Marked differences were seen in the ability of the isolates to induce neurological clinical symptoms in mice as well as in their ability to secrete proteinase. No correlation was seen between the origin of the isolates (blood or skin and nails) and their experimental pathogenicity and proteinase production.
Candida parapsilosis : typage moléculaire et pathogénicité experimentale d'isolats responsables de candidoses profondes ou superficielles |
But |
Trente souches de Candida parapsilosis responsables de mycoses systémiques (fongémies) ou de mycoses superficielles (dermatomycoses et onychomycoses) ont été typées au plan moléculaire et leur pouvoir pathogène a été évalué chez la souris de même que leur aptitude à la sécrétion de protéase.
Matériels et Méthodes |
Les trente souches de C. parapsilosis ont été typées par différentes techniques moléculaires: restriction enzymatique (RFLP) avec deux enzymes distinctes, amplification génique aléatoire (RAPD) avec quatre amorces différentes et caryotypage en champs pulsés (PFGE). Leur pathogénicité expérimentale a été évaluée chez la souris immunodéprimée, et leur production de protéase sur milieu contenant de l'albumine sérique bovine.
Résultats |
Le typage par PFGE n'a mis en évidence que des groupes de deux isolats identiques au maximum et la majorité des isolats avaient un profil individuel. Les méthodes de RFLP et de RAPD en revanche se sont montrées non discriminantes puisque vingt-huit isolats sur trente avaient un même profil. Des différences marquées ont pu être mises en évidences dans l'aptitude des isolats à déterminer l'apparition de signes cliniques neurologiques chez la souris, de même que dans leur capacité de sécrétion protéasique. Aucune corrélation n'est apparue entre l'origine des isolats (candidoses profondes ou superficielles), leur pouvoir pathogène expérimental chez l'animal et leur production de protéase.
Keywords: Candida parapsilosis , RFLP , RAPD , PFGE , Experimental pathogenicity , Proteinase
Keywords:
Candida parapsilosis
,
RFLP
,
RAPD
,
PFGE
,
Pathogénicité expérimentale
,
Protéase
Plan
© 2001 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
Vol 11 - N° 4
P. 191-197 - décembre 2001 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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